A Jarnac, Macron et Ndiaye officialisent la transformation de la 5ième république en empire inca.
Réinvention à bas bruit de pratiques millénaires : la médecine vaccinale consiste à intervenir sur des individus sains et sans défense (peu exposés aux menaces dites épidémiques) dans l’espoir de protéger la collectivité des individus plus ou moins sains mais qui plus forts, n’accepteraient pas d’être sacrifiés.
Cela se fait en vertu d’une théorie psychanalytique bien connue : celle du bouc émissaire. Ce rite sacrificiel libère le groupe de ses peurs et de ses tensions grâce à la protection que les dieux accorderont à coup sûr après le cadeau sous les yeux de tous d’une précieuse vie.
Dans cette version récente, il s’agirait de conjurer le rôle pathogène des virus (dont l’existence n’a jamais été prouvée scientifiquement, et que les théories biologiques tenues sous le boisseau comme les observations récentes du statisticien Pierre Chaillot incitent à remettre en question). Le virus joue le rôle du courroux des dieux, le même que celui des animaux malades de la peste dans la très pertinente fable de Jean de la Fontaine.
Tout en apaisant par la vaccination le courroux du supposé virus, on flatte le paradigme transhumain, puisqu’il s’agit d’améliorer l’humain qui n’aurait pas les capacités naturelles de vivre dans son milieu naturel. Tout y est, le Dieu comme les Humains sont contents ; le sacrifice peut avoir lieu.
Mais revenons sur l’histoire de ces sacrifices « modernes ». En France, les débuts de la médecine vaccinale d’Etat remontent à Napoléon 1er, dont le régime – inspiré des principes de la franc-maçonnerie – a justement été salué par Hegel comme le premier Etat post-théiste de l’Histoire : exit du Dieu des chrétiens qui avait chassé les dieux celtes environ un millénaire plus tôt et entrée en scène de l’homo-medicalus-deus. La « Science » des Lumières est devenue petit à petit une religion avec un dieu médical principal mais aussi un dieu écologie, un dieu Intelligence Artificielle, un dieu non-violence…..
On aboutit au nouvel empereur inca Macron, investi de tous les pouvoirs sacré qui se rend à Jarnac en compagnie de son grand-prêtre Pap Ndiaye, pour une cérémonie du culte médical, au cours de laquelle plusieurs adolescents de basse caste seront solennellement inoculés de forces public par le truchement médiatique pour garantir, de par le symbole de l’usage vaccinal pérennisé l’advenue d’un avenir « sain pour tous ».
L’aspect comique de ce nouveau « Coup de Jarnac », c’est que ce cérémonial néolithique a formellement lieu plusieurs millénaires après, dans les cadres de la moribonde 5ième République, dont Macron et ses complices par intérêt ou soumission ont sublimé les pires aspects.
Ainsi son rôle de président (même usurpé deux fois par le truchement de la CIA transférant 8 millions de voix au premier tour puis 2 au deuxième tour 5 ans plus tard pour le récompenser d’avoir bradé les fleurons industriels et l’indépendance nucléaire à l’encan) serait, non pas de « renforcer la médecine préventive auprès des jeunes », non pas de s’assurer que leur pays ne se retrouve pas en « cobelligérance » contre des puissances nucléaires, non pas que la jeunesse devenue adulte se voie privée d’industrie en raison des rêveries de décroissance d’un cartel kleptocratique de nonagénaires néo-malthusiens siégeant dans les Alpes suisses, mais bien de sacrifier des enfants sur l’hôtel du profit pharmaceutique. Un rôle de grand prêtre sur l’estrade qui convient à merveille à ce crétin narcissique pervers sexuel et psychique.
Je dis bien sacrifier car il n’est un secret pour aucune personne bien informée, pas même pour un médecin généraliste d’aujourd’hui…., que cette injection, si elle ne tue pas comme les injections géniques expérimentales massives et inutiles récentes, donne la sclérose en plaque et des cancers.
Le coup de Jarnac : désormais, ce ne sera plus la rapière, mais la seringue.
