Les premiers seront les derniers


La résistance est mûre pour abandonner l’illusion sanitaire. La fable de la pandémie a fait long feu. Alors ne fantasmons plus sur le rôle médical des pseudo-vaccins. Leur but premier est de soumettre les populations en extorquant leur consentement. C’est pour cela que la vaccination ne sera jamais obligatoire: les maîtres veulent qu’on baisse notre pantalon puis qu’on se mette à quatre pattes volontairement pour que plus personne ne puisse prétendre qu’il y a viol.

La vaccination, c’est la manufacture d’un viol consenti, la prise de possession du corps et de l’âme humaine. Une fois la chair devenue la chose du maître, une fois le souffle de l’esprit chassé, on atteint la forme la plus élevée du totalitarisme. Une fois imprégné par sa semence, le maître détient sur son sujet le pouvoir absolu de Saturne sur sa progéniture, titan fou qui préféra dévorer ses fils de peur que l’un d’eux n’hérite de son trône.

Saturne dévorant un de ses fils, Goya

Mais voilà, face au père cannibale, il y a les mères, génitrices de toutes les révolutions populaires. Quand les mères sont dans la rue, le pouvoir est foutu. Alors que font les tyrans dégénérées quand les femmes déclarent: «Je veux bien me piquer, me sacrifie pour ma famille; mais mes enfants, pas touche !» Ils éructent: «Pas tes enfants ? Tu oses me défier ? C’est ce qu’on va voir !»

Pour les psychopathes qui nous gouvernent, pour l’élite planétaire, la soumission n’est pas négociable. Ils se prennent pour Dieu et réclament les mêmes prérogatives. C’est pourquoi, à l’instar de Yahvé devant Abraham, ils exigent le sacrifice des enfants. Quand on se sacrifie soi-même, on ne se donne qu’à moitié. Mais quand on vend ses enfants, qu’on lève le poignard sur eux – ou la seringue – on devient la propriété du Prince de la matière. Même le dieu jaloux de l’Ancien testament vomissait ces larves serviles. Elles n’étaient bonnes qu’à nourrir le Moloch.

Le sacrifice d’Isaac, Caravage

Ils ne veulent pas qu’on leur vende notre âme immortelle: ils exigent qu’on la leur donne !

Une fraction importante des doses de pseudo-vaccins n’est en fait composée que d’eau salée, preuve que l’action du produit est anecdotique. Même en termes d’expérimentation, l’absence de population témoin, le mélange des produits de différents fabricants, l’ignorance des démarches qualité, l’impossibilité du suivi des cobayes, l’indifférence aux des effets indésirables à court et à long terme, tout cela montre que l’effet du vaccin est sans importance. Oubliez la médecine. Ce sont les âmes qu’on vaccine.

Le consentement à la piqûre, quelque soit le moyen, est le seul objectif du pouvoir mondial. Une fois l’acte consenti, il sera libre d’injecter ce qu’il voudra à qui il voudra, sur le territoire et à la population choisie. Micropuce, reconformation génétique, stérilisation forcée, addiction provoquée, tout sera autorisé, administré en masse quelque soit le prétexte. Le peuple se mettra en ligne au son de la clochette comme les bœufs devant l’étable. Donc les réfractaires ne seront pas piqués de force. Pourquoi pas ? Et bien parce que l’injection obligatoire ne permet aucunement de soumettre la victime, bien au contraire: le martyr libère, il béatifie. L’obligation abâtardit le consentement et détruit toute l’œuvre castratrice de l’inoculation.

Saint Sébastien, Le Sodoma

Les résistants ne seront pas piqués de force: ils seront criminalisés par les maîtres puis éliminés physiquement par les esclaves. Chaque jour qui repousse la Révolution nous rapproche de l’extermination. Nos maîtres derrière leurs costumes bien coupés et leurs gueules enfarinées sont de fieffés pétochards. Ils ne s’acharneraient pas tant sur le peuple, ne réclameraient pas à ce point sa capitulation inconditionnelle si ils ne le craignaient pas. Ils tremblent jusqu’aux os ! Leur genre de curiosité étalée au vu et au su de tous dévoile tout sur leurs effrois les plus profonds. Ils savent, comme nous, quel est le problème et où réside la solution. Qui prétend que la situation est compliquée ? On ne détache pas le nœud gordien comme on le noue. La liberté est à la portée de tous. La question est: la mérite-t-on ?

La Liberté guidant le peuple, Delacroix

Les masques tombent ! Mais le cataclysme purificateur émergera des profondeurs. L’Olympe sera submergée par la vague finale, balayé par le magma brûlant vomi par les cœurs éventrés des peuples excédés.

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