L’étalage de la bêtise du temps


Dans un billet précédent je fustigeais la collaboration des patrons dans le nouveau totalitarisme financiaro-industrialo-pharmaceutico-gouvernementalo-sanitaire

A l’école

Je pourrais écrire le même billet version Éducation Nationale avec encore plus de vigueur car les fonctionnaires ne risquent théoriquement pas leur emploi et l’organisation est tellement mal en point que comme à l’hôpital, les menaces ne peuvent être que vaines.

Comment des gens instruits, les maîtres d’écoles, les professeurs peuvent-ils gober sans se documenter ni réfléchir par eux-mêmes les boniments médiatiques et gouvernementaux tout droit sortis des documents marketing des laboratoires pharmaceutiques ?

Comme des gens aimant en principe par vocation les enfants peuvent-ils exercer leur pouvoir pour torturer et traumatiser des enfants ? Zimbardo ne marche pas seulement avec les prisons à Stanford; l’expérience en vraie grandeur colle parfaitement hélas pour les lieux d’enseignement; privés comme publics français.

La bêtise, cela ne signifie pas seulement avoir un raisonnement faux; cela peut aussi et surtout dans les décennies récentes et l’actualité, ne pas s’intéresser aux vrais problèmes; voire même ne pas être capable d’identifier les vrais problèmes :

Dans ce cas on s’en fiche comme de l’an 40 des bâillons usagés qui trainent sur le trottoir. D’ailleurs on peut même y voir une saine protestation plutôt qu’une négligence incivile.

Le vrai problème c’est la crédulité et la docilité des auteurs face au viol gouvernemental des enfants. Une sorte de pédophilie sanitaire systémique. Le vrai problème c’est que les parents soient devenus les instruments de traumatisation des enfants; comme ces parents indignes qui les abusent sexuellement.

Non la comparaison n’est pas exagérée parce que les traumatismes psychique à l’âge adulte seront du même ordre tandis qu’avec le temps les chairs et les systèmes immunitaires auront oublié; sauf à ce que ces enfants aient en plus été piqué aux produits CMR expérimentaux.

A la mairie

Corollaire de la bêtise ambiante : En passant près d’un « chef » surveillant au sol un opérateur n l’air dans une nacelle qui décrochait un lampion dans un arbre du parc de la Tête d’Or à Lyon dans le cadre des fameuses et assez nulles « illuminations » je lui lance la mienne : « vous feriez mieux de donner à manger à ceux qui ont faim plutôt que dépenser notre argent à ce genre de connerie !  » Le monsieur n’était pas content….

La mairie de Villeurbanne n’a rien à envier à celle de Lyon. Au lieu de donner à manger à ceux qui ont faim, elle donne à n’importe quel petit bourgeois qui passe par là. La charmante jeune fille dument masquée s’avance vers moi : « Monsieur, est ce que je peux vous offrir un chocolat gratuit de la part de la mairie de Villeurbanne ? » Je m’arrête, prends le temps de la réflexions et lui réponds « tant qu’on vous obligera à porter ce bâillon pour servir, non !  » Interdite par une réponse qu’elle n’attendait pas, elle en a semblé contente…. Quelle honte de gaspiller quatre sous en payant des étudiants qui ont besoin de manger pour donner quelque chose dont personne sauf les SDF ont besoin ?

Et en plus songeais-je en m’éloignant, c’est du chocolat qui vient de l’autre bout du monde au frais de la planète alors qu’on pourrait avoir du bon vin chaud d’ici. Mais de l’alcool: vous n’y songez pas !

ben si !

Joyeux Noël, les précieuses ridicules et les tartuffes ont encore de beaux jours devant eux !

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