En temps normal
L’écrasante majorité des gens, meurt soit à l’hôpital, soit sur son lieu de vie (domicile, pension, etc.) Ceux qui meurent à l’hôpital tentent d’être sauvés.
Ceux décédant chez eux n’ont pas « la chance » d’être secourus; soit qu’ils soient irrécupérables (sénilité avancée, cancer en phase terminale, etc.), soit que l’organisation des secours ne le permette pas ou que les ambulanciers arrivent trop tard.
Il arrive aussi qu’on meure à la maison où à l’EHPAD parce que les soins ont été refusés au malade, pour diverses raisons. C’est évidemment une situation indigne censée être rarissime car combattue. Vraiment ? Regardons comment a évolué le rapport entre les décès à l’hôpital et ceux sur le lieu de vie.
La courbe rouge représente les décès en hôpital et celle en vert ceux sur le lieu de vie. On voit qu’en général le rapport entre les deux, c’est à dire la courbe bleue, est situé entre 1,3 et 1,6. Autrement dit, sur 5 personnes, 3 mourront à l’hôpital et 2 sur le lieu de vie. C’est comme cela depuis longtemps et on constate que sur les années 2018 et 2019, c’est le cas tout du long sans variation significative : les courbes rouge et verte ont une forme quasiment superposable. Ce rapport est un indice fort de la qualité régulière de la prise en charge hospitalière. Plus il est élevé, mieux les malades sont soignés; indépendamment de leur maladie. Leur santé est menacée, donc on les emmène à l’hôpital pour tenter quelque chose; dans le pire des cas, ils meurent à la clinique.
Que s’est-il passé pendant les confinements de 2020 ?
On voit bien les pics de mortalité. Mais on y voit aussi, et c’est cela qui nous intéresse dans cet article, que le rapport mort à hôpital / décès sur le lieu de vie s’effondre ! De 1,6 on tombe entre 1 et 1,2; et les creux sont significatifs : il s’est passé quelque chose qui n’a rien à voir avec tel ou tel virus car cet indicateur est propre à la prise en charge médicale, pas à l’état du malade. Pendant les enfermements obligatoires, on se met à mourir à la maison; donc sans soins hospitaliers. « Doliprane et attendez que ça passe » : On laisse les gens crever dans leur coin, tout particulièrement les personnes âgées (quand on ne les pique pas au Rivotril). On meurt étiqueté «COVID19» à l’hôpital, et de tout les autres maladies ailleurs, loin du regard des médias.
Vous cherchiez la raison de « l’hécatombe » ? Là voilà !
Quand on confine, on ne soigne plus les gens. On laisse les malades pourrir dans l’isolement, tout spécialement les plus de 70 ans. L’excès de mortalité causé par ce défaut de prise en charge est de… 22 000 morts !
Au moins. Sans compter l’impacte funeste des consignes imposées sottement aux hôpitaux, les gestes iatrogènes qui tuent mais qui sont censées diminuer la «propagation du virus». Car quand on intube un malade au lieu de lui apporter son oxygène par voies non-invasives (lunettes O2, masques, C-PAP, VNI) à raison des 2,5l/mn recommandés au lieu des de 8 l/mn possibles par exemple, on a toute les chances de le tuer; surtout si il est vieux ou déjà mal en point. C’est tellement important qu’il se serait même avéré inutile d’interdire un traitements efficaces, dont tout le monde connaît pourtant l’innocuité depuis des décennies. L’isolement des malades, encouragés à se gaver de paracétamol hépatotoxique était suffisamment meurtrier.
Ne cherchez donc plus le meurtrier: c’est votre gouvernement et son administration sanitaire délirante (la même qui poursuit les fous en justice) C’est elle qui affaiblit et ainsi tue les citoyens, tous masqués, parqués, stressés, angoissés, mal soignés, ruinés, abandonnés, bientôt empoisonnés par un pseudo-vaccin d’apprenti-sorcier.
L’absence de soin combiné au confinement et au port permanent de masques sont les causes principale du désastre planétaire nommé «COVID»:
Traitement indigne, Confinement désastreux, Désinformation odieuse.