Le choléra capitaliste c’est pire que la peste Bolchevique !


Message personnel

On peut être bon militaire, émettre une chronique claire, pleine d’intégrité logique, bien sourcée, honnête dans sa présentation comme le fait Xavier Moreau sur Stratpol et néanmoins être resté comme on a été biberonné à la moraline bourgeoise depuis l’enfance, puis conditionné par le travail; et donc n’avoir pas tout compris au « jeu » pourtant stratégique qui se déroule depuis la naissance de la massification entre dominants et dominés et tomber dans le piège des dominants. Ils sont nombreux comme lui les bien intentionnés à l’égard du peuple manipulés par les idéologies et j’espère que cet article leur permettra de prendre de la distance et de s’appartenir rationnellement au lieu d’appartenir émotionnellement à un clan.

La provocation

Pourquoi dans la chronique N°96 https://odysee.com/@emanou:a/STRATPOL—Bulletin-N%C2%B096.-Gamelin-en-phase-terminale,-%C3%A9conomie-russe,-Broussilov-2.0:7 irriter certains de ses auditeurs assidus tout en « flattant » les autres avec cette réflexion : « avant l’arrivée de la peste brune bolchévique ». Cette diabolisation des bolchéviques n’est rien d’autre qu’une ancienne appellation « complotiste » ou « anti-vax ». Robert Sapolski explique très bien le mécanisme de constitution puis de polarisation des « nous » et des « eux » dans son livre « Behave ». C’est un mécanisme dangereux qui peut conduire à la guerre civile; surtout quand comme l’explique René Girard dans « la violence et le sacré » la violence sociétale accumulée s’évacue par la violence sur les boucs émissaires sacrifiés; ce qui est particulièrement le cas de par les inquiétudes entretenues et les conditions économiques tendues. Il y a donc aussi dans cette recherche de faire prendre conscience une tentative de réduction de ce risque dans notre intérêt à tous même si cela n’allait pas jusqu’à conduire l’intérêt général des français à la victoire sur les mondialistes.

Sortir de la caverne

C’est un long chemin de découverte personnel qui m’a permis de comprendre cette loi : les précurseurs de tous domaines sont toujours repoussés (« ridicule, dangereux, évident » dirait Idriss Aberkane) et parfois pendant de nombreuses décennies voire siècles. Cela m’a mené aux découvertes successives que tout ou presque est faux en biologie du dogme ou ou mauvais pour l’être en comportement sociétal.

J’ai poursuivi cette démarche de sortie de la caverne par l’écoute détaillée des coulisses de l’Histoire; bien loin des histoires simplistes, voire à dormir debout depuis la paléontologie, racontée par les manuels officiels de classes dument contrôlés par les dominants en place et leur idéologie traditionnelle et acceptée. C’est en effet là, plus encore et depuis plus longtemps, qu’on découvre comment la propagande toujours au mains des dominants tue les grands hommes par l’âme (j’entends par grandeur d’âme : la générosité des engagements, les actes, le mépris des honneurs, du pouvoir et de l’argent, et la modération de sagesse) et comment elle glorifie les butors violents et sans scrupules dès lors qu’ils sont vainqueurs. Le bon peuple qu’on prend bien soin de garder inculte en lui faisant croire qu’il s’ait tout, y croit. Ainsi on glorifie naïvement monsieur Frick dans son Frick museum de New York en racontant comment il est sorti de la fange en imposant une dureté épouvantable à des milliers d’ouvriers pour finalement s’entourer d’œuvres d’art dans le palais qu’on visite. Ainsi à Lisbonne on glorifie Vasco de Gama….

la falsification de l’histoire

Pour s’en convaincre, par exemple pendant des vacances à Kaliningrad…, c’est le moment d’écouter Henri Guillemin raconter sur Youtube qui était vraiment Napoleone Buonaparte; comment s’est vraiment déroulée la révolution française et d’y découvrir en particulier à la fois la fourberie des bourgeois emmenés par Danton, la cruauté « azovienne » sans borne de leurs préfets et découvrir que le seul modéré avisé, le seul défenseur du peuple, le premier abolisseur de l’esclavage, celui qui prônait l’égalité femmes- hommes, celui qui refusait la guerre à l’Europe, celui qui préférait que périsse les (profits des) colonies plutôt qu’un principe (la liberté des individus), celui qui voulait arrêter les exactions des préfets, celui qui comme Louis XVI et Necker aimait le peuple, c’était Robespierre. Oui, Robespierre ce noble, quand on y regarde bien a gardé toute sa noblesse humaine pendant que les bourgeois se vautraient déjà dans la violence, les magouilles et la fourberie avant de lui tailler un costar idéologique en réécrivant l’Histoire à leur avantage.

Tout en Histoire est comme cela; en particulier « l’épisode » de la deuxième guerre mondiale où le nécrophile Churchill est porté aux nues alors qu’on oublie de dire qu’Hitler avait été accueilli en libérateur à Danzig (devenue Gdansk depuis). On dissimule, on ignore, on oublie que Churchill lui même disait :  » cette guerre est une guerre anglaise » « nous imposerons cette guerre à Hitler qu’il le veuille pou pas » « je veux faire rôtir 60 millions d’allemands »  » « le crime impardonnable de l’Allemagne est d’avoir établi un système de troc qui la fait échapper au marché financier » (https://www.deboutlafrance.fr/?s=churchill)

L’histoire de deux camps dans un ménage à trois !

Depuis la révolution anglaise, un siècle avant la française et où ils ont avant nous coupé la tête au roi, avec la technologie énergétique naissante, une nouvelle caste est arrivée au pouvoir : la bourgeoisie des usines, du commerce et de la finance a succédé à la noblesse. En Angleterre ce fut un mariage de raison, en France une soumission avec intégration de la noblesse dans la bourgeoisie mais le résultat est le même. Ce sont les principes et l’idéologie bourgeoise, on dirait aujourd’hui mondialiste qui gouverne.

Sous la domination de cette nouvelle caste dominante muti-confessionnelle, fondamentalement apatride même s’il faut bien être né quelque part, dominé des marchés-fiefs-territoires et comme toute caste, cherche à concentrer le pouvoir. Cela donne les mariages entre cousins, les mariages de la carpe riche et du lapin au carnet d’adresse d’état. C’est le paradis des médiocres-zélés bien conscients de leur amoralité égoïste mais qui dans un narcissisme épanoui, se jugent supérieurs et dans leur bon droit. Quelques psychopathes intelligents, beaucoup d’héritiers sociopathes imbéciles qui s’entre-craignent.

La plupart des autres dès qu’ils le peuvent, et indépendamment de toute religion, choisissent le parti des plus fort. « Ça marche comme ça » déclarent-il en adoptant l’idéologie des maîtres autorisant la maltraitance des plus faibles quand ce n’est pas le sadisme où ils s’appliquent à singer le comportements des dominants de la classe au-dessus. C’est un peu douloureux pour l’ego, dégradant pour la morale et l’estime de soi, contraignant pour sa liberté… il faut travailler un peu mais au final c’est physiquement relativement confortable, moralement supportable même dans la « saadisation » des inférieurs à l’extrême comme aujourd’hui en France et dans les pays anglo-saxonnisés à coup de soft-power médiatique que n’avait pas pu équilibrer en son temps Jean-Marie Messier. Mais cette position intermédiaire où l’on s’entre-observe jalousement, est surtout porteuse de considération auprès de tous; sauf auprès des dominants qui les méprisent ! Dans cette classes avec toutes ses sous-catégories, on se croit dominant alors qu’on est avant tout prolétaire. La considération affectée des autres rend peu conscient de l’inhérente veulerie, les limitations intellectuelles permettent de s’affranchir de toute réflexion culpabilisante. C’est le paradis des médiocres-malgré-eux : suffisamment intelligents pour tirer leur épingle du jeu pas assez pour faire pire avec les dominants et pas assez pour faire mieux avec les dominés comme l’avait fait Robespierre.

La classe des plus faibles, celle de ceux qui ne possèdent que leur force de travail, leur imagination, leur solidarité pour survivre, quelquefois vivoter, exceptionnellement parvenir à passer dans une des classes nouvelle ou supérieures après trois générations d’efforts ou encore à la faveur d’un tempérament, d’une amoralité lucide ou encore d’un QI très exceptionnel, cette classe de prolétaires reste éternellement dominée. Manquant de tout, elle est maintenue sans ménagement par les deux ou trois autres classes, leur police, leur justice, leurs lois, leur système…. dans son état de précarité propice à la soumission.

Une exception cependant, l’après deuxième guerre mondiale, à la faveur des trente glorieuses sous un régime idéologiquement socialo-communiste, s’est constitué en France une classe « intermédiaire basse » de petits propriétaires parvenus à posséder leur(s) logement(s). j’en profite pour signaler que les moujiks crevaient de fin avant 1917 essentiellement parce que les propriétaires exportaient le blé; un peu comme les propriétaire anglais ont fait crever les paysans irlandais alors qu’ils auraient eu moyen de les sauver lors de la maladie de la pomme de terre; plat unique.

Cette configuration par classes dominante, dominée-dominante, dominée correspond aux expérience avec les rats en cages relatées par Werber dans « la révolution des fourmis » / »l’encyclopédie du savoir relatif et absolu »

Installée, la classe dominante pousse son avantage. Elle aussi solidement installée, la classe intermédiaire de domination transmet la domination et les abus des dominants de plus en plus autoritairement (Kafka, et l’autoritarisme bureaucratique actuel).

Cela remonte toutes les catégories progressivement contre la catégorie intermédiaire ou les écrans-fusibles-boucliers politiques de la catégorie dominante. Hormis quelques intellectuels prolétaires hélas, peu arrivent à concevoir l’ensemble du mécanisme et encore moins à le débarrasser de fantasmes; notamment religieux. Il faut dire à décharge que leur décrédibilisation par désinformation professionnalisée émanant directement des bureaux des légendes des services de renseignements n’aide pas. (affaire Jean-Michel – Natacha Rey)

Le phénomène de rejet commence par les plus misérables, contamine les précaires et grimpe les catégories sociales au fur et à mesure que les inégalités croissantes font dévisser les catégories basses de la classe intermédiaire.

L’intelligence de situation se répand (aujourd’hui via les réseaux sociaux et la vidéo à la demande) les jacqueries deviennent révoltes, le peuple gronde. Une allumette, une maladresse des couches dominés-dominants dans la transmission de l’excès de cupidité en trop des dominants, un meneur parfois ou des conjonctions météo font éclater la révolution.

La corruption régnante de tous les dirigeants de contre-pouvoirs potentiels (syndicats…) et la canalisation par toutes les oppositions contrôlées bien-pensantes dans les rangs de la catégorie dominés-dominants, dans son alliance de la classe dominante ne réussit plus ni à réprimer, ni à détourner une révolution d’esclaves sexuels, de dealers, de travailleurs, de prolétaires, d’ouvriers, d’employés, commerçants, artisans, fonctionnaires…. La révolution contre la maltraitance et pour la qualité de vie pour tous réussit.

Le mécanisme de basculement est toujours le même : la tension de société et la rancœur contre les injustices et privilèges que s’arrogent les dominants ayant débordé, quelques rares grandes âmes des classes dominantes vont mener le changement dès que les soldats, policiers, gendarmes, CRS de tous poils, lassés d’être mis en première ligne au service des classes dominante et dominée-dominante dont, hors les officiers, ils font partie de la classe dominée, refusent d’obéir (ou quand c’est un coup d’état de la bourgeoisie le font échouer contre Hugo Chavez à la suite d’un conciliabule entre gardes du palais présidentiel). Ils refusent de tirer sur les femmes, rejoignent les manifestants après avoir parfois retourné leurs armes contre les officiers fanatisés.

Privée de ses cerbères, la caste dominante s’effondre.

S’engage alors une contre-révolution dans laquelle la classe des catégories intermédiaires, courageuses mais pas téméraires, attend de voir. Matérialiste égoïste timorée, elle cherche à se replacer en dominants-dominés quel que soit le nouveau pouvoir. Ce sont les petits-bourgeois, les CSP+, les bobos, les apparatchiks….. Naturellement les nouveaux dominants les utilisent .

Tout aussi naturellement quand la révolution est en passe de réussir, les ex dominés devenus dominants les contrent brutalement voire sauvagement : koulaks, rééducation à la chinoise….

Puisque l’Ukraine est d’actualité, « l’affaire Schwartzbard et le procès des progroms » par Philippe Bouklara permet de découvrir la notion de cosaque Zaporoje et le comportement des nobles polonais pullulants durant la Grande Pologne englobant alors l’Ukraine sous forme de Lituanie. Cela permet de découvrir au passage une révolution méconnue emmenée par le petit noble ukrainien Khmelnitsky, maltraité par un noble polonais, il s’est allié aux turcs et a rassemblé des cosaques officiels (qui au passage on tués leurs officiers polonais) et cosaques résistants (Zaporoje) pour bouter le noble (polonais) hors d’Ukraine sans pour autant renier le roi de Pologne. On y voit en particulier comment la classe populaire, vainqueur dès 1648 s’est déchainé jusqu’en 1653 contre la classe intermédiaire chargée par les nobles de les opprimer et qui s’acquittait de fonction de classe avec zèle; cautionnant tous les abus. Les histoires religieuses autour de cela ne sont qu’un emballage fallacieux. (un peu comme gauche droite…. d’ailleurs ce qui compte c’est la synchronisation dans le fameux « en avant… marche ! »)

l’agressivité de défense n’est pas la pulsion d’agressivité

Erich Fromm dans « anatomie de la destruction » explique cela très bien. La destructivité ce sont les pulsions sadiques d’ukro-nazis par exemples et les pulsions de destruction comme celle de Macron par exemple. Il ne faut pas confondre cela avec la personne agressée, qui ne demandait rien et qui contrainte et forcée, frappe la première pour se défendre.

Assaillis de toute part depuis l’extérieur de par la solidarité mondialiste de classe dominante (lire Monique et Michel Pinçon-Charlot « La sociologie des riches » que l’on découvre de type communiste)

les révolutionnaires du peuple n’ont pas d’autre choix, s’ils veulent conserver leur nouvelle liberté toujours acquise au prix du sang que d’exercer un pouvoir très autoritaire sans pitié ni concession à l’endroit de cette classe. Staline et Mao en sont de purs produits mais pas Robespierre qui en a fait les frais. C’est parce que Staline a préservé la révolution, l’autonomie soviétique, sa liberté in fine face aux grands bourgeois capitalistes du monde riche que les russes continuent à vénérer Staline. Le comportement de l’un est toujours le comportement réponse de l’autre et hormis quelques stratèges particulièrement habile comme Louis XI, de Gaulle ou Poutine, il est difficile de faire autrement pour préserver une révolution des assauts de la grande bourgeoisie. La Russie post soviétique y est parvenue dans une partie extrêmement serrée et on voit que cela n’a servi qu’à faire prendre de l’ampleur aux appétits grands-bourgeois qu’on appelle de nos jours plus volontiers Etat-Profond, 1% ou 0,01%.

En France, la contre-révolution de la grande bourgeoisie avait duré de 1793 à 1870 date à laquelle, ayant fait la paix entre grands-bourgeois plus fondamentalement apatrides solidaires qu’allemands et français, le tonton flingueur Adolphe, je parle d’Adolf Thiers, a massacré les communards sous le nom révélateur de « Versaillais ». Cette appellation était celle des communards, lesquels avaient sans doute bien senti une collusion noblesse-bourgoisie et déjà intuité que la lutte contre la domination de cette collusion c’était « la suite de l’Histoire ».

Non content de ce massacre suivi de parodies d’injustice cruelle, dans un discours connu, Thiers ce boucher que la bourgeoisie va glorifier comme tant d’autres de ses rangs, expliquera que la bourgeoisie et la noblesse luttent depuis un siècle contre cette fichue révolution sans en venir à bout. Il propose de changer de tactique dans la stratégie de domination : noyauter la révolution, les institutions du peuple, les républiques de l’intérieur. Aujourd’hui c’est toujours vrai et cela se formule : « ce sont eux le virus » « ils sont la corruption »…..

En union soviétique les choses sont allé au même rythme de 70-80 ans après puisque le renversement de domination établi en 1917 a été contré en 1989 avec l’implosion de l’URSS en nations autonomes.

Les grands-bourgeois capitalistes se sont alors rué sur ce qu’ils voyaient comment un nouveau marché, certains pays dégagé du joug se tournant résolument vers les délétères sirènes clinquantes de la société de consommation. (la consommation c’est l’écoulement au plus vite et le plus possible de la production donc des profits)

Seules quelques révolutions en sortiront victorieuses : l’écroulement de l’empire Russe en 1917 et qui doiti se défendre encore aujourd’hui, de la Chine avec Mao et qui se défend elle aussi encore.

Mais la vie est dure quand même quand on a réussi comme l’Irak de sadam Hussein, l’Iran d’après Shah, la Lybie de Khadafi, Cuba de Castro toujours sous embargo, du Venezuela de Chavez toujours copieusement déstabilisé par les EUd’A et l’Argentine sous Maduro, du Brésil avec un Lulla écarté par manœuvre tordue pour y mettre un complice du 1% nommé Bolsonaro, l’Ukraine reprise en main par les démocrates EUd’A au service du 1% allié au nouveau riche Kolomoisky derrière le fusible Zelensky…..

En France, la situation est restée indécise un siècle et l’histoire n’est pas terminée; Il en va de même dans les pays latins et germaniques; Raison supplémentaire pour laquelle l’idéologie anglo-saxonne des bourgeois mondialistes dominants, et en particulier les lords et la City alliés aux côtes Est et Ouest des EUd’A veulent abattre leurs états par le biais de l’administration de la communauté européenne et la guerre à travers l’OTAN.

De la tactique gagnante à son apogée avant la chute

Le noyautage préconisé par Thiers en 1870, une sorte d’infection virale politique a marché extrêmement bien; d’autant mieux que toutes les découvertes psychologiques ont été mise à profit pour la division des prolétaires dominés d’une part et la manipulation médiatique des foules par l’idéologie d’autre part. Elle a fait école partout. Lire les chiens de garde de Paul Nizan et les nouveaux chiens de garde de Serge Halimi; le meilleur des mondes d’Orwell (après la ferme des animaux pour les paragraphes précédents) Pour être complet, il faut ajouter les attentats médiatiques sous faux drapeaux; parfois de très gros coups comme Pearl Harbour, les armes de destructions massives d’Irak, on a marché sur la lune, les tours jumelles…

La domination grande bourgeoise dans son système de capitalisme financier très dérégulé, marche encore tant bien que mal mais plutôt cahin-caha. Compte tenu de toutes les découvertes macabres faites par le peuple récemment : mœurs dépravées et sadiques à l’extrême, fragilité du systémique du système financier, trafics ignobles divers, croyances diaboliques, corruption généralisée, dévoiement scientifique, manipulation médiatique des foules, trafics économiques en tous genres, évasions fiscales légalement organisées, espionnage informatique commercial, économique politique généralisé, ravalement de la nature humaine à l’état d’objet, monstrueuses fermes d’animaux……

Bref l’inversion de la hiérarchie des ordres pascaliens de l’ordre technico économique mis à la place de l’ordre divin; et donc la barbarie philosophique à la puissance 5 particulièrement visible dans ses œuvres en Ukraine et dans les révélations des tares des de la classe dominante et de sa classe intermédiaire servile la plus proche.

Voyage en jet, plurinationalité, cadeaux, fraude et évasion fiscaux, placement au dessus des lois, financement de leurs médias -cinéma compris- par l’état, contournement permanent de la démocratie, essais militaires ou sanitaires en vraie grandeur sans contrôle, destruction de la faune et de la flore, pillage des services et entreprises publiques, et depuis peu totalitarisme sanitaire et policier, bientôt militaire… tels sont les privilèges que s’octroie aujourd’hui la noblesse-bourgeoise du le 0,01% qui traite généreusement en monnaie de singe ses thuriféraires comme ses complices de classe intermédiaire.

Mais ce n’était encore pas assez, il leur fallait se rassurer, faire mal pour se sentir bien, avoir le pouvoir absolu, total, de vie et de mort, et même de la pensée pendant la vie des nouveaux esclaves.

La meilleure analyse actuelle est probablement celle de Catherine Austin-Fitts expliquant qu’il s’agit de coups d’Etats simultanés, planifiés, organisés par la grande bourgeoisie/Etat-Profond/Forum Economique Mondial/ 0,01% pour détruire le pouvoir des états et contrôler, y compris avec ce qui reste des états pour ce faire, une population mondiale maltraitée de toutes les manières sur plusieurs générations au besoin jusqu’à en être réduite des deux tiers.

Résumé

Cette longue explication historique montre qu’il serait temps de comprendre, surtout quand on est de formation militaire, que les histoire de gauche et de droite, les diabolisations des bolchéviques, c’est de l’application du « sans donner de bataille tâcher d’être victorieux » ou encore « diviser pour régner ». Il s’agit de diviser les dominer et à qui profite le crime ? Évidemment in fine aux dominants susnommés.

Il n’y a pas que la hiérarchie reflets de la domination qui fonctionne. Les militaires surtout dans les services discrets savent bien que la fonction prime le grade et que c’est le plus compétent pour la circonstance qui mène le groupe. Toutes les équipes d’élite, tous les commandos savent bien que c’est la solidarité et la rigueur qui comptent pas l’autorité; encore moins la domination. C’est le mieux placé qui, selon l’expression consacrée « prend la manœuvre » Les anarchistes, de droite comme de gauche, qu’on a aussi comme par hasard discrédités, le savent bien et c’est la fonction naturelle de fonctionner. Chaque individu du groupe est important, mais c’est le groupe le plus important.

Conclusion

Même avec une petite audience comparée aux grands médias des milliardaires, même chacun arrivant avec les idées reçues tiré de son vécu, il est important maintenant quand on est influenceur sur internet, au minimum de ne pas diviser, pour le moins de rassembler et au mieux d’engager l’action.

Des petites phrases assassines qui provoquent et divisent comme la peste bolchéviques ne sont plus de mise devant les enjeux.

Il est temps que les prolétaires, les couches basses de catégories intemédiaire ou couches hautes des dominés comme les patrons de petites entreprises artisans, commerçants, si loin du 1% et si près du 99% quand on regarde l’échelle globale des rémunérations, jouent des rôles moteurs de rassembleurs conquérants dans l’intérêt général des nations et pour leur paix; même si ça doit passer par une lutte sévère avec les fauteurs et profiteurs de guerre du 0,1%. C’est cela le vrai prix de la liberté et l’ouverture sur la qualité de vie.

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