Ce qui se passe dans les coulisses, visible pour les attentifs et invisible sauf pour les instigateurs, les vrais complotistes, est beaucoup plus important que ce qui est visible ; beaucoup plus important que l’émotionnel du moment.
En l’occurrence, l’Ukraine était probablement le dernier maillon avant l’offensive destinée à l’aboutissement de la stratégie dite « anti-communiste » mais en réalité anti-peuple, démarrée avec la révolution anglaise, puis la révolution française, puis la révolution russe, la révolution chinoise, et les révolutions asiatiques et d’Amérique Latine par la bourgeoisie ayant pris le pas sur la noblesse.
Cette stratégie aujourd’hui solidement appuyée sur l’idéologie ultra libérale dominante et ses porte-voix dans un pouvoir médiatique sans partage est vieille de 75 ans et peut-être même de 105 ans en ce qui concerne spécifiquement la Russie. L’idée d’une poignée de dominants, c’est de mettre la main sur le marché et les ressources immenses des peuples de la fédération de Russie.
Les coulisses sont devenues quelques peu transparentes avec la révolution de 2014 après la déstabilisation financée par Soros. Ensuite c’est Kolomoysky allié aux Biden qui ont pris le relais pour armer et entrainer les ukro-nazis qui, aussi bêtes que méchants, ont martyrisés tous les « eux » qui leurs déplaisaient : la moitié du peuple Ukrainien, les russophiles russophones qui pensent à l’aune de l’expérience d’après chute du mur, qu’un communisme ou un socialisme apaisé est sensiblement préférable à un capitalisme extrémistes autoritaire, débridé, déculpabilisé des souffrances qu’il répand généreusement sur le monde de par les inégalités qu’il y sème. (CF Joseph Stiglitz « le prix des inégalités »)
« Quand le sage montre la lune, nombreux sont ceux qui regardent son doigt » les découvertes dans les laboratoires biologiques, dans les charniers d’enfants, les témoignages de sévices sortis des caves de l’est de l’Ukraine, l’accueil des femmes aux soldats libérateurs russes, les plans d’attaque biologique, les orientations des gains de fonctions, les coups tordus médiatiques à coup de morts dans leur propre population, tout cela montre bien le niveau de vice et de violence atteint par les ukro-nazis et ce n’est pas un hasard si l’usine bunker s’appelle Azov stal comme le tristement célèbre bataillon Azov et que les deux appartiennent à l’oligarque Koloysky. Les médias montrent le doigt, et cachent ces sombres facettes de la lune.
La réaction physiquement violente, guerrière lorsqu’elle prend la dimension géostratégique, est parfaitement saine; salutaire pour la santé d’une société comme d’un individu. Lorsqu’un adulte y a recours c’est mûrement réfléchi. Il n’y a que les adultes infantilisés pour ne pas le comprendre ou y avoir recours sans discernement.
Si les Incas avaient fait cela aux espagnols quand il en était encore temps, ils n’auraient jamais pris leurs immense richesse avant de les anéantir. Même dans la vie courante c’est vrai. Le tabou de la violence, l’agitation des émotionnels (depuis l’épouvantail le Pen jusqu’à l’épouvantail Poutine en passant par l’épouvantail « communiste » / « socialiste » / «gauchiste ») ne sont que des ruses des malfaisants sournois pour faire prendre au mal le dessus sur le bien. Pour asseoir le pouvoir des velléitaires dominants sur les dominés récalcitrants à l’être.
Poutine est un homme, forgé aux rues de St Petersbourg. La vraie vie ; pas celle de fils de banquier ou devrais-je dire selon l’expression d’Alain Mink interrogé à propos de Macron, parlant de « métier de pute » et donc il n’est pas comme d’autres « un fils de pute » ? (encore que ces braves femmes, elles, méritent le respect dû à ceux qui luttent au 36ième dessous)
Macron doit sa carrière à son cul. Il servait probablement de cadeau aux clients des Rothschild. On a vu son épanouissement en compagnie des beaux danseurs musclés d’inspiration satanique lascive.
Les affaires sont les affaires. Elles ne s’embarrassent pas de morale. Le petit poudré l’a compris, en a joué et probablement que les états-majors apatrides putrides profonds à dominante anglo-saxonne ont compris qu’il était assez bête, veule, pervers mais surtout narcissique pour servir leurs intérêts en étant persuadé d’être le sauveur de son pays. L’idiot utile dans toute sa splendeur jupitérienne.
Les dirigeants russes font très bien la différence entre les dirigeants français et le peuple français ; encore que, après ces élections, ils puissent réviser leur jugement. Alors que Poutine se moque de lui, ne signifie pas qu’il se moque des français. Je pense au contraire qu’il les plaint.
Si Poutine et les dirigeants russes ont pris la pleine dimension de la vacuité intellectuelle des gouvernementaux et apparatchiks français, des prétentions sans vergogne, de l’impuissance crasse de la France, du jeu de théâtre suicidaire des prétentieuses « élites » aussi narcissiques qu’incompétentes, c’est qui a encore simplement un jugement sûr; un jugement comme devrait en avoir tout chef d’état digne de ce nom et bien renseigné. Pour reprendre une chronique de Christian Combaz, il le prend au bon niveau : celui du gamin qui voudrait se faire passer pour le père.
Comme le clown, je souris tristement moi aussi de voir de braves militaires avoir été assez disciplinés et naïfs pour obéir et aller soutenir des nazis en Ukraine tout en niant y être. Ce sont des compatriotes et parmi les plus valeureux. Mais quand on respecte un pouvoir corrompu fond et forme comme celui-là, n’a-t-on pas au final ce qu’on mérite ? Quand on élit un pouvoir, fond et forme comme celui-là, et qu’on s’en trouver moqué aux quatre coins de la planète (sauf aux Etats-Unis), peut-on ensuite s’en offusquer ? La tyrannie, la saadisation des classes inférieures, nécessite une idéologie c’est la « cancel culture » (traduisez l’intolérance généralisée infantilisante) et de nombreux complices pratiquants.
Ceux-là qui s’alignent systématiquement et servilement dans le sens du pouvoir, ne méritent t’il pas de la part des hommes mûrs et sages, un immense mépris et une baffe hypersonique pour reprendre leurs esprits quand, comme le poisson rouge Maurice, ils dépassent les bornes des limites ?
Saint-Michel serein et confiant va terrasser le dragon incestueux drogué agité et c’est tant mieux !