Les premiers seront les derniers


La résistance est mûre pour abandonner l’illusion sanitaire. La fable de la pandémie a fait long feu. Alors ne fantasmons plus sur le rôle médical des pseudo-vaccins. Leur but premier est de soumettre les populations en extorquant leur consentement. C’est pour cela que la vaccination ne sera jamais obligatoire: les maîtres veulent qu’on baisse notre pantalon puis qu’on se mette à quatre pattes volontairement pour que plus personne ne puisse prétendre qu’il y a viol.

La vaccination, c’est la manufacture d’un viol consenti, la prise de possession du corps et de l’âme humaine. Une fois la chair devenue la chose du maître, une fois le souffle de l’esprit chassé, on atteint la forme la plus élevée du totalitarisme. Une fois imprégné par sa semence, le maître détient sur son sujet le pouvoir absolu de Saturne sur sa progéniture, titan fou qui préféra dévorer ses fils de peur que l’un d’eux n’hérite de son trône.

Saturne dévorant un de ses fils, Goya

Mais voilà, face au père cannibale, il y a les mères, génitrices de toutes les révolutions populaires. Quand les mères sont dans la rue, le pouvoir est foutu. Alors que font les tyrans dégénérées quand les femmes déclarent: «Je veux bien me piquer, me sacrifie pour ma famille; mais mes enfants, pas touche !» Ils éructent: «Pas tes enfants ? Tu oses me défier ? C’est ce qu’on va voir !»

Pour les psychopathes qui nous gouvernent, pour l’élite planétaire, la soumission n’est pas négociable. Ils se prennent pour Dieu et réclament les mêmes prérogatives. C’est pourquoi, à l’instar de Yahvé devant Abraham, ils exigent le sacrifice des enfants. Quand on se sacrifie soi-même, on ne se donne qu’à moitié. Mais quand on vend ses enfants, qu’on lève le poignard sur eux – ou la seringue – on devient la propriété du Prince de la matière. Même le dieu jaloux de l’Ancien testament vomissait ces larves serviles. Elles n’étaient bonnes qu’à nourrir le Moloch.

Le sacrifice d’Isaac, Caravage

Ils ne veulent pas qu’on leur vende notre âme immortelle: ils exigent qu’on la leur donne !

Une fraction importante des doses de pseudo-vaccins n’est en fait composée que d’eau salée, preuve que l’action du produit est anecdotique. Même en termes d’expérimentation, l’absence de population témoin, le mélange des produits de différents fabricants, l’ignorance des démarches qualité, l’impossibilité du suivi des cobayes, l’indifférence aux des effets indésirables à court et à long terme, tout cela montre que l’effet du vaccin est sans importance. Oubliez la médecine. Ce sont les âmes qu’on vaccine.

Le consentement à la piqûre, quelque soit le moyen, est le seul objectif du pouvoir mondial. Une fois l’acte consenti, il sera libre d’injecter ce qu’il voudra à qui il voudra, sur le territoire et à la population choisie. Micropuce, reconformation génétique, stérilisation forcée, addiction provoquée, tout sera autorisé, administré en masse quelque soit le prétexte. Le peuple se mettra en ligne au son de la clochette comme les bœufs devant l’étable. Donc les réfractaires ne seront pas piqués de force. Pourquoi pas ? Et bien parce que l’injection obligatoire ne permet aucunement de soumettre la victime, bien au contraire: le martyr libère, il béatifie. L’obligation abâtardit le consentement et détruit toute l’œuvre castratrice de l’inoculation.

Saint Sébastien, Le Sodoma

Les résistants ne seront pas piqués de force: ils seront criminalisés par les maîtres puis éliminés physiquement par les esclaves. Chaque jour qui repousse la Révolution nous rapproche de l’extermination. Nos maîtres derrière leurs costumes bien coupés et leurs gueules enfarinées sont de fieffés pétochards. Ils ne s’acharneraient pas tant sur le peuple, ne réclameraient pas à ce point sa capitulation inconditionnelle si ils ne le craignaient pas. Ils tremblent jusqu’aux os ! Leur genre de curiosité étalée au vu et au su de tous dévoile tout sur leurs effrois les plus profonds. Ils savent, comme nous, quel est le problème et où réside la solution. Qui prétend que la situation est compliquée ? On ne détache pas le nœud gordien comme on le noue. La liberté est à la portée de tous. La question est: la mérite-t-on ?

La Liberté guidant le peuple, Delacroix

Les masques tombent ! Mais le cataclysme purificateur émergera des profondeurs. L’Olympe sera submergée par la vague finale, balayé par le magma brûlant vomi par les cœurs éventrés des peuples excédés.

La perversité génocidaire de l’humanité passe par la (pseudo) vaccination des enfants !


Il faut avoir survécu à deux harcèlement moraux en entreprise pour parvenir à comprendre comment fonctionnent les pervers. Surtout dans les grandes entreprises où le harcèlement moral intervient pour des raisons de pouvoir.

Quand quelqu’un d’honnête, gentil, dévoué, simple, nature,…. bref quelqu’un normal croise roise le chemin de quelqu’un de dominateur, prétentieux, manipulateur, moralement violent, verbalement brutal, c’est très pénible et si la victime qu’on ne se privera pas de qualifier de consentante ne fuit pas, il lui faudra lutter avec encore plus de violence et de perversité que son bourreau. Cela nécessite une véritable transformation de soi et les psychiatres dont l’approche consiste à remettre en cause la personnalité de la victime prolongent l’action du harceleur au lieu de lui apprendre le « close combat ». J’ai survécu à cette épreuve et ajouté cette facette à mon profil de victime.

Mais il existe un autre harcèlement, beaucoup plus vicieux et plus difficile encore à combattre : le harcèlement stratégique. Il s’agit là de vous écarter, de vous isoler, de vous critiquer, de vous dévaloriser, de vous calomnier, de vous déconsidérer…. Dans les administrations et entreprises, ce harcèlement peut être l’œuvre d’un individu isolé que la générosité de votre nature ou vos talents professionnels auront frustré par comparaison aux siens; mais aussi l’œuvre d’une cour transformée en meute autour de l’individu ambitieux craignant pour son pouvoir ou voulant simplement vous empêcher de vous épanouir en leader.

Pour lutter contre ce deuxième type de harcèlement que j’appelle « stratégique », il faut naturellement ne rien croire, ne jamais douter de soi mais aussi deviner et anticiper son raisonnement pervers.

Nous sommes dans un harcèlement systémique orchestré par les tenants du gouvernement mondial; des sociopathes d’autant plus dangereux pour la Société qu’ils sont aussi individuellement psychopathes; c’est à dire insensibles à la douleur des autres. C’est la raison pour laquelle pour les servir ou être adoubé dans leur secte-classe dominante, il faut en donner des gages. C’est pour cela qu’il faut avoir démontré ses capacités à devenir psychopathe en faisant partie de la liste de la liste Epstein homme de paille de la milliardaire Maxwell héritière de grande fortune et grande prêtresse du culte. C’est aussi la raison pour laquelle il faut multiplier les symboles occultes (discours Macron devant la pyramide du Louvre) et les symboles de décadence (photos évocatrices d’homosexualité et invitation Macron à l’Elysée (dont l’éthymologie est paradis) de gens mimant des démons en enfer : Le message est clair le paradis est au main de l’enfer comme l’antéchrist est au Vatican).

Évidemment pour l’immense majorité des gens sains, oser concevoir cela relève de la paranoïa l’une des deux difficultés supplémentaires que pose cette deuxième forme de harcèlement par rapport à la première. En effet, sous les coups masqués insidieux, allusifs,…. il devient difficile de faire la part des choses entre le bien et le mal et tout aussi difficile de savoir de qui viennent le bien et le mal.

Pour retrouver la différence et donc agir juste en confiance, il faut apprendre comment raisonnent les pervers. Et là une petite phrase du Dr Malone inventeur de la thérapie génique vient brusquement d’éclairer ma lanterne concernant la (pseudo) vaccination des enfants. Et je voudrais vous faire partager l’horreur de l’intention de ma découverte :

https://odysee.com/@TheMagicWhispers:3/DrRobertMalone:5?r=EBfN8szC8RAaTU9qW4Dgm2VsFs4AC4bM

Mais pourquoi insistent-ils tant me disais-je ? Les enfants n’ont que peu de récepteurs ACE2 et sont donc peu vulnérables au Virus. La preuve ils ont tous été contaminés par le virus chimère mi naturel mi artificiel sans même ressentir un symptôme grâce à leur immunité croisée.

Protéger les vieux de la contamination ? Ca ne tient pas debout, les adultes, l’air ambiant que ne filtrent pas les bâillons (mailles micrométriques pour virus nanométriques) contaminent tout autant et même plus puisque pour se défendre leur corps éventuellement contaminés exhalent les virus plus que les enfants puisqu’ils ont pu mieux se multiplier chez les adultes que chez les enfants. (sans parler des exhalaisons des pseudo-vaccinés pour tenter de vider l’usine à protéine spike qu’ils sont devenus)

Le Dr Robert Malone, qui rien moins que l’inventeur de la thérapie génique et qui prend la peine d’écrire et graticuler comme le général de Gaulle son intervention, nous y donne la réponse : son troisième argument d’alerte contre le piquage des enfants avec le composé potentiellement, mais quasi déjà démontré avec les effets court terme et immédiats, Cancérogène-Mutagène-Reprotoxique (CMR) c’est qu’il y a mensonge : Les enfants, au contraire d’être des contaminateurs potentiels des grands-parents sont en réalités des atténuateurs de contamination.

Voilà bien la perversité des coups :

1) la propagation doit s’accentuer pour permettre d’affoler médiatiquement avec des cas de contamination qui ne donnent même pas de malades et un nombre insignifiant de décès.

2) Beaucoup plus grave l’injection toxique de ce bouillon de minuit CMR doit rendre les enfants malades pour qu’une fois devenus adultes ils soient affaiblis, souffreteux, stériles, de manière à les empêchant d’assurer leur rôle de perpétuation de l’espèce humaine.

La voilà l’ignoble raison perverse pour laquelle les sbires du 0,1% des organisations gouvernementales mentent si ouvertement et insistent tant pour piquer les enfants dès le plus jeune âge. Plus ils sont piqués jeunes moins leurs systèmes immunitaire saura se défendre et plus il y aura de temps pour le poison de faire son effet. L’extinction arrivera progressivement, ils pourront s’engraisser sur de vrais malades qu’ils auront fabriqué dans le prolongement de ce qu’ils font déjà et les braves gens n’y verront que la normalité du moment.

Et quand vous savez que tout est fait comme cela depuis le début (y a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise du Pr Peronne) et même avant dans l’incroyable méticuleuse orchestration de la préparation sur plus de 10 ans de ce qui se passe en ce moment, vous comprenez toute la perversité des harceleurs stratégique que sont les dirigeants d’organisations financières et industrielles : banques, fonds d’investissement, fondations, trusts et entreprises pharmaceutiques, d’armement ou GAFAM; c’est à dire du 0,1% emmené par la compétition Rockfeller, Rothschild, Gates.

On peut d’ailleurs noter que le professeur Peronne par prudence ou par ignorance les a bien épargné en parlant d’erreur. Le mal se présente toujours sous les traits du bien : la statistique c’est une erreur sur deux décisions. Quand les décisions sont à 100 % d’erreur, c’est qu’il existe une intention cachée derrière le dysfonctionnement. Ici l’intention pas vraiment caché par les riches, par Sarkozy, Gates, Attali…. c’est de réduire la population. Mais au lieu de le faire en douceur en rendant les pauvres riches (lire les articles sur l’idéologie de la qualité pour tous sur ce site) pour qu’ils fassent comme l’Allemagne moins d’enfants; ils veulent accélérer le mouvement tout comme ils accélère la consommation pour le profit par la mode et l’obsolescence programmée.

Leur but c’est de répondre à deux fantasmes : la surpopulation et le pouvoir total et totalitaire par l’hyper-contrôle informatique sur des androides déshumanisés.

Ne les laissons pas faire, ils ne sont que 0,1% de la population et le monde ne fonctionne ni par l’argent ni par la technologie des riches mais par le travail, la solidarité et la générosité des humbles….. C’est la nouvelle lutte de la noblesse et du clergé contre la plèbe et le tiers état……

Gouvernement mondial et instrumentalisation climatique


Dans la toute récente interview de Florian Philippot par André Berkoff sur Sud Radio (ou bien dans celle, récente également de Valérie Bugault sur TV Liberté ?), il démontre qu’elle est un élément du dispositif relai de ceux qui tente par un putsch d’instaurer un gouvernement mondial avant l’effondrement de leur système; tellement poussé à son maximum qu’il finit par ne plus fonctionner du tout.

L’urgence climatique n’existe pas; nous étions simplement dans le demi siècle précédent dans une phase d’un cycle de Milankovitch d’élévation de température. Depuis peu elle n’augmente plus.

Thunberg est une enfant intelligente instrumentalisée d’abord par ses parents puis par les rouages de manipulation mondiale des populations par la grande bourgeoisie apatride gouvernée par le 0,1%.

le but du pouvoir industriel grand-bourgeois est à la fois de stimuler ses propres ressorts, de pousser à un renouvellement consommateur pour doper l’économie et d’affoler les populations pour un changement inutile qui sert comme toute guerre, seulement ses intérêts.

Je trouve assez navrant d’ailleurs au passage que la gauche naturellement en opposition avec cela, n’ait pas compris la manipulation ou feigne de ne pas la comprendre ou se soit laisser infiltrer par les rouages de cette théorie Mélenchon et la FI en tête. C’est d’ailleurs du même tonneau que l’anti-nucléarisme primaire……

L’urgence climatique ne passerait pour certains qu’après l’urgence d’apprendre à penser correctement la complexité organisée car elle conditionne tout le reste. Cependant cela risque d’être long. Il me semble qu’avec un peu de Morale et donc le rétablissement du pouvoir de l’ordre d’Amour débarrassé des manipulations perverses bourgeoises (Soros et les migrants) et donc celui de l’ordre Divin (de la Spiritualité s’entend pas des radicalismes des trois grandes obédiences) on arriverait à une idéologie (voir sur ce site l’idéologie de la qualité pour tous) qui induirait un système satisfaisants donnant le temps à l’humanité de travailler cette question.

Avaaz fait la promotion active de l’icone Greta Thunberg en écrivant : « Notre planète appelle à l’aide: voici notre message aux décideurs : Bonjour, Greta et d’autres jeunes leaders inspirants participent actuellement aux discussions sur le climat avec les dirigeants mondiaux. Faisons résonner la vérité dans les lieux de pouvoir avec un million de voix pour soutenir cet appel urgent à l’action climatique — chaque voix compte ! Signez en un clic et partagez au maximum ! » climatique. Rien n’est plus urgent — notre planète crie à l’aide. En ce moment même, nos gouvernements sont réunis pour des négociations historiques sur le climat — mais sans actions concrètes, leurs promesses ne résoudront rien. Nous avons besoin que nos dirigeants fassent enfin preuve de courage et clairvoyance, et prennent les décisions nécessaires pour nous faire sortir du gouffre….. L’humanité est en échec face à la crise« 

Quelle crise, quelle échec sinon celui d’un système prédateur surpuissant qui au lieu de répondre aux besoins du plus grand nombre les exploite et saccage la nature (non par l’inoffensif climat mais en développant les armes climatiques géologiques et biologiques catastrophiques…., en renouvelant la consommation de biens inutiles, en pratique la pêche au delà du supportable, en spécialisant les rôles aux antipodes imposant semant l’esclavage par le transport et la fraude financière internationale. Voilà les vrais coupable et leur système !

Curieusement, seul le climat global ne peut leur être reproché et c’est précisément leur cheval de bataille !

Alors braves gens, jeunes et vieux, ne tombez pas dans les pièges manipulation du 0,1% de psychopathes pervers, aidés des 1% de sociopathes, armant 10% médiocres-zélés eux-mêmes relayés par 20% de médiocres-malgré-eux : Quittez les rangs de la complicité involontaire dans ces associations du mal brandissant le bien et rejoignez les rangs des altruistes opposés au gouvernement mondial du système capitaliste mondial dérégulé.

Quand Dieu vient au secours du peuple


Prolégomène

Christian Combaz produit une excellente chronique hebdomadaire

où il fustige les travers du temps des gens et du gouvernement présents vus de Campagnol. Je le suis avec assiduité ; un peu comme mes grands-parents après-guerre passaient leurs soirées avec la Famille Duraton à la radio libérée mais encore libre.

Celle du 22 novembre 2021, était particulièrement intéressante : elle nous renseigne à la manière de Monique et Michel Pinçon-Charlot, non plus sur la sociologie véritablement communiste du microcosme des très riches, mais sur celle, moins solidaires mais néanmoins très clanique de leurs valets bien traités : J’ai nommé :  juges, aristocrates, énarques …

Différentier les hyper-riches, des très riches, des riches et des niveaux du peuple

Bon nombre des gens du peuple, à la campagne comme à la ville, les considèreraient à tort comme riches. Il ne faut cependant pas confondre les 0,1%, les 0,9%, les 9%, puis les 20 % qui suivent. C’est même avec eux que dans les statistiques de richesse on dilue la fortune des 0,1% dans des moyennes pour que leurs extrêmes paraisse moins obscènes ; notamment aux yeux des laborieux, pauvres, indigents, miséreux ou moribonds de la terre qui par hasard tomberaient et comprendraient l’indécence de cette courbe véritablement exponentielle des revenus.

Les membres des « Catégories Socio Professionnelles supérieures (CSP+)»

Ces intellectuels du peuple,  disons entre les 60 et 40% du dessous sont exclues de ces niveaux. Ils ont été à l’école de la république quand elle marchait encore et comprennent plutôt bien. Comme les Branco, les Boulot, ils pourraient guider les gilets jaunes à la place des politiciens mais sans la corruption ni le mépris avec pour cible l’intérêt général et pour idéologie la qualité pour tous. Les banlieues des villes, habituées au combat pourraient venir aider à la besogne avec les déshérités errants divers ….

 

Quand, ces derniers, avec Emmanuel Todd, ils accepteront de comprendre à force de dévisser qu’ils sont les perdants de la mondialisation, quand ils liront des sources économiques pour découvrir que les banques centrales créent de la monnaient bien plus que pendant la 2ième guerre mondiale pour financer l’effort de 3ième guerre mondiale déclarée par le 0,1%. En lisant le capital au 21ième siècle de Piketti, ils découvriront que la part du PIB restituée au travail est passée de 75% après-guerre à 25% actuellement.

Ils découvriront par les chiffres, des chiffres étudiés sans truquage et sans propagande, que les inégalités d’aujourd’hui sont du même ordre qu’en 1900. La Belle-Epoque n’était pas si belle pour tout le monde puisqu’elle a engendré deux guerres mondiales de rééquilibrage.

Alors, négligeant les partis, les couleurs, les races, les genres et tout autre division, avec ce but commun d’assoir la qualité pour tous et tout, ils pourront se rendre à l’église, à la mosquée, à la synagogue, au temple….

Pourquoi se rassembler à l’église ? 6 idées pour comprendre

 « Aux grands maux les grands remèdes » 

L’attaque porte sur l’humanité

dont on viole le génome. La réponse doit donc faire appel aux ressources les plus profondes de l’humanité laquelle se définit par différence avec les animaux, les extra-terrestres mais aussi les dieux.

« le 21 siècle sera moral ou ne sera pas »

Les ordres « Pascaliens » et la notion philosophique de barbarie sont une clé de lecture des réalités qui pour moi depuis plus de 20 ans ne s’est jamais démentie – Elle me vient d’un directeur de journal lyonnais devenu directeur de site normand et qui lui-même l’avait appris d’une conférence d’André Comte-Sponville.

L’idée consiste à dire qu’une société est civilisée quand la hiérarchie des ordres est respectée. Quand la hiérarchie des ordres est inversée, on entre dans une barbarie.

L’ordre désordonné où tout est possible à la base est technico-économique. Quand on entend parler de puçage, de contrôle des pensées, de transhumanisme, de notation sociale, de surveillance, coercition permanente, d’esclavage, de génocide pour régler un faux problème de surpopulation mondiale déjà évoqué dans les mêmes termes il y a un siècle, de modification irrémédiable et brutale du génome humain, il devient évident que l’ordre technico-économique a besoin d’être limité.

C’est le rôle de l’ordre juridico-politique qui va produire la démocratie (supposée pas pervertie par la propagande), l’état de droit et toutes les normes, règles, us et coutumes permettant de limiter les excès de l’ordre technico-économique.

Mais l’ordre juridico-politique mais sans être perverti de l’intérieur, a besoin de repère pour décider de ce qu’il doit limiter ou laisser faire. C’est là qu’entre en jeu l’ordre moral. Ses directives séparent le bien et la mal et les sanctions qui en découlent empêcheront le mal tandis que les récompenses encourageront le bien. On rencontrera cependant dans bien des cas, des difficultés à fixer la limite entre le bien et le mal. Nombre de discussions de mœurs portent sur ce point et ce qui est bien pour une société sera considéré comme mal pour une autre ou encore avec le temps, ce qu’une société aura considéré comme mal à une époque deviendra bien à une autre. La modification des convictions par le cinéma ou la banalisation par les jeux vidéos et y compris jusqu’à l’influence sur les enfants feront évoluer la limite entre le bien et le mal et donc les lois et donc les actes.

Alors comment fixer la limite ? c’est là qu’intervient l’ordre d’Amour. « Ne fait pas à autrui ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse »…. L’ordre d’Amour guide sur la limite entre le bien et le mal. L’intérêt général, c’est aimer tout le monde ; c’est le bien. L’intérêt particulier c’est n’aimer que soi et donc s’autoriser à faire du mal à autrui. La domination le profit, les égoïsmes c’est mal.

« aime ton prochain comme toi-même »…. C’est le commandement d’Amour qui vient de l’ordre divin. C’est lui la clé de voûte qui tient le système. Enlevez la clé de voûte et le système stable d’ordre sociétal est livré à tous les renversements de hiérarchie ; à la barbarie donc. Le technico-économique tente bien de le remplacer : il invente la religion de la science, la religion de l’économie, la religion du profit mais ces dieux là sont trop matériels ; ils ne parviennent pas à remplacer et le système se délite petit à petit.

Il est évident qu’il s’est tellement délité qu’il en est devenu délétère que le technico-économique a pris le dessus y compris sur l’ordre non seulement juridico politique mais même moral puisque ce qui est bien c’est ce qui marche et qu’on n’a aucun scrupule à violer et génocider dans le totalitarisme. Même sur l’ordre d’amour puisqu’il invite à ne plus aimer « les autres » par exemples les pas-pikouzés et qu’il cultive depuis longtemps l’art de n’aimer que soi à travers l’individualisme consumériste.

Nous sommes donc dans une barbarie à la puissance 3 ! 

« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme »

La propagande de la peur de la mort attaque leur bien le plus précieux des Hommes : la santé. Cette propagande pleine de mensonge repose sur la réputation des notables implicitement considérés comme incorruptibles, infaillibles dignes de confiance aveugle. La propagande via ce type d’acteur s’appuie aussi sur « La Science » implicitement ayant tout découvert, infaillible elle aussi. Le dogme le plus communément partagé pour respecter le pouvoir du grand-ponte, ne pas bousculer la doxa en place et ainsi ménager sa carrière deient « La Vérité ». Rien n’est plus faux et le nombre ou le pouvoir ne changent rien à l’affaire. « La vérité existe, on n’invente que le mensonge »

Les faiblesses de la nature humaine ne sont pas nouvelles et les assoiffés de pouvoir ne s’embarrassent pas de morale. C’est même précisément ce qui leur permet d’être dominants sans avoir été plébiscité par la collectivité.

Voilà pour la corruption passée à l’état systémique massif dans bien des domaines.

L’épistémologie

quant à elle, nous enseigne que les scientifiques se sont toujours étripés avant de se stabiliser sur la connaissance nouvelle initialement refusée. La théorie des 4 humeurs a déchiré les médecins ; Molière avait bien compris qu’on ne soignait pas en saignant et que le verbiage savant cachait l’indigence des connaissances. Il est avéré aujourd’hui que les processions de la religion d’alors pour conjurer la peste, la propageaient au contraire….

Cash Investigation et l’agnotologie nous permettent de déceler comment sont enfouis ou mis en valeur par les propagandistes médiatiques au service de la finance, les concepts autour de ce que les intérêts économiques veulent vendre ou autour des concurrence simples qu’il leur faut tuer. La radioactivité, le tabac, le sucre, les produits laitiers, l’aspartame, la thalidomide, le jus d’orange…. ont été mis en valeur longtemps comme bons pour la santé et des gens en sont morts comme on meurt aujourd’hui les thérapies géniques expérimentales.

Cette double action de promotion des uns en parallèle du bâillonnement des autres, répétée à l’envi, augmente l’efficacité de n’importe quel mensonge sur la population de base. Si en plus on y ajoute la stratégie du choc pour sidérer, alors l’efficacité est totale. Même les votations suisses n’y résistent pas.

En réalité, hormis quelques courageux chercheurs indépendants membres du CSI sur Crowdbunker, quelques journalistes (La Une TV) et politiques (Philippot, Asselineau)…. tous les dépendants des financements des laboratoires pharmaceutiques, tant pour leurs campagnes électorales, que pour leurs crédits de recherche, ou encore pour le financement de voyages-colloques-séminaire, ou simplement pour leurs « piscines » ou « toitures », tous ces acteurs corrompus ou médiocres-malgré-eux de ce charlatanisme de la médecine pharmaceutique sont devenus le clergé d’une religion constituée de dogmes à dormir debout.

Pour qui a quelques connaissances des travaux refusés par la religion du technico économique (lire Pierre Lance : « Chercheurs exclus – Savants maudits ») ou encore pour qui a un peu investigué la grippe vaccinale de l’institut Rockefeller abusivement appelée grippe espagnole laquelle initiait une longue série de crimes avec préméditation en bande organisée bien décrite dans ou Judy Mikovits « Plague of corruption », il est clair que la science pharmeuceutico-médicale a maintenant fait prendre presque un siècle de retard à cause de sa religion du profit et déjà beaucoup tué à bas bruit pendant un siècle.

La médecine pharmaceutique se distingue ainsi au même niveau peu enviable que la chrétienté inquisitrice. Le parallèle parfait vaut jusqu’au brûlage des médecins compétents sur le bûcher médiatique à l’instar des sorcières d’autrefois ; les debunker étant les nouveaux bourreaux.

La troisième prophétie de Fatima

Révélée dans une apparition aux enfants suivie d’une validation devant 70 000 personnes, a signifié que le cœur du clergé deviendrait le siège de l’antéchrist. C’est exactement ce qui vient de se produire avec le pape qui, s’alliant avec le pouvoir financier sans doute pour des raisons de bourse car le Vatican est gros investisseur, conseille tout bonnement au peuple de se laisser violer le génôme. Il ne faut donc plus compter sur les dirigeants ecclésiastiques qui donnent ainsi les clés de l’ordre divin au mécréans adorateurs du veau d’or au lieu de chasser les marchands du temple.

Combaz et les réseaux sociaux équivalents de Luther et l’imprimerie ?

Je ne souhaite pas à l’humanité d’entrer dans deux siècles de guerre de religion sanitaire.

Je l’espérais déjà en 2017 avec Mélenchon mais la France Insoumise était rivée à son dogme bien orienté mais trop étroit et trop terre à terre de l’Avenir en Commun. Pour contrecarrer la dérive idéologique d’un capitalisme financier dérégulé mondial, il faut s’élever et chercher des principes directeurs qui fustigent ses excès. Les listes de projets ou d’ingrédients de recettes de cuisine n’y suffiront pas. L’idéologie de la « Qualité pour tous » en lieu et place de l’idéologie capitaliste du profit me semble au bon niveau. Voilà pour le plan idéologique.

Au plan technique, l’imprimerie naissante d’alors se compare aux technologies de la communication par internet. On ne compte plus les internautes fréquentant les chaines vidéo d’autres internautes, sortes de pasteurs, d’immams ou de rabbins des tendances idéologiques modernes tout comme autrefois le grand public instruit pouvait lire les impressions des 95 critiques et décider de s’instituer pasteur. Les idées de probité, de vérité, de liberté, d’égalité, de fraternité se propagent par la voie numérique contre la dépravation et la corruption des 20% autour des 0,1% à l’instar de la rigueur morale protestante contre les dépravations papales décadentes d’alors. 

L’église lieu de fraternité et dimension spirituelle suffisante pour vaincre les divisions

Comme les curés d’alors qui étaient tellement nombreux que les églises ne pouvaient les accueillir tous, les journalistes thuriféraires du pouvoir se battent pour dispenser leurs sermons sanitaires sur les antennes du pouvoir en place. La nature humaine est ainsi faite qu’elle aime le pouvoir et qu’elle le préfère facile d’accès ; c’est-à-dire déjà en place plutôt qu’à conquérir.

Comme il faut bien se démarquer de la concurrence, chacun y va de sa sensibilité. Pour que cela ne se remarque pas trop, on va baptiser extrêmes, des différences mineures.

Cette tactique marketing empêche le commun de s’apercevoir que le véritable extrémisme, c’est celui du système en place, de son extrême centre au service du pillage des dominants, et non pas ses oppositions plus ou moins contrôlées. Un peu d’émotionnel là-dessus, une culture du nous et du eux, renforcée à longueur d’émissions et voilà les ferments de la division populaire levés et le peuple, soit encore les 80% en nombre, neutralisés.

Mais la dimension religieuse reste un point commun entre bon nombre de baptisés même si beaucoup n’attachent plus grande importance à la religion. Plus le péril croît, et avec le totalitarisme financiaro-génético-sanitaire ambiant il est particulièrement grand, plus le besoin de se rassembler devient fort. Les musulmans l’expérimentent déjà depuis longtemps dans les mosquées, pourquoi les chrétiens et les juifs ne se rassembleraient-ils pas, en dehors des temps de spiritualité pour ne pas mélanger les genres, pour organiser le règlement des questions temporelles à l’abri des sbires du totalitarisme ?

L’idée de rassembler les peuples par la chrétienté est tout simplement géniale

Tout autant mais plus en profondeur que celle de les rassembler par la langue ou le pays.

Conjuguer les compétences

D’abord la diversité des compétences des membres du groupe religieux sont beaucoup plus nombreuses. Ainsi, avec une idéologique d’amour du prochain qui donne confiance la catégorie instruite peut prendre la tête de la lutte et la guider. Les gilets-jaunes ne seront plus sans tête.

Le modèle « Tour Eiffel »

 Je l’ai mis en exergue au chapitre 7 de l’idéologie de la qualité sur ce site dès 2015. L’idée a aussi été émise dans la chronique de la semaine de Christian Combaz qui m’a induit à écrire cet article. Il s’agit de rassembler les différentes couches sociales par niveau en faisant comprendre à chacune à quel point elle est de fait, liée au sort des autres tant qu’un individu même avec des différences de revenus appréciables et parfois enviables, n’a pas atteint le stade de très riche ou d’hyper riche. Rassembler par l’appartenance religieuse le permet.

 La spiritualité eocuménique comme arme de combat

Voilà bien longtemps que l’Islam a compris que nous étions dans une barbarie et qu’il fallait que l’ordre divin reprenne le pouvoir sur l’ordre technico-économique. Il faut rassembler par religions et par langues communes et faire l’union des rassemblements dans l’aspiration à l’élévation spirituelle, pragmatiquement, sur l’essentiel pour le bien commun, l’intégrité et la vérité ; des valeurs morale largement au-dessus des valeurs technico-économiques des partis.

Comme la révocation et la révolution se feraient dans un esprit spirituel et non pas en servilité d’un haut clergé sinon corrompu du moins dévoyé, ce ne serait donc non pas une, mais trois colonnes œcuméniques du peuple animées d’un même esprit mues par l’Amour du prochain érigé en qualité suprême qui monteraient à l’assaut de la domination financière via l’assainissement politique.

Mot d’ordre

Donc, chrétiens, musulmans, juifs, agnostiques ;  francophones, français rassemblez-vous hors prières dans vos lieux de culte pour organiser la lutte contre le totalitarisme génocidaire de l’humanité !  

Place des femmes, propagande et société


Après la révolution plus qu’avant, il y a eu des époques terriblement injustes en Europe pour les femmes. Jusque dans les années 50 on mettait par exemple les filles-mères dans des quasi-prisons (dirigées par des religieuses…). On connaît les histoires puritaines du café, de la bicyclette, des carnets de chèque et du droit de vote alors que déjà en 1789 les révolutionnaires prônaient l’égalité et qu’ensuite plus d’une femme s’est illustrée durant la commune comme avant pour aller chercher le boulanger sa femme et le petit mitron…. La maltraitance des femmes est d’abord un effet de la domination bourgeoise mais dans certaines cultures asiatiques ou arabes un totalitarisme masculin étrangle toujours les femmes. La récession économique et l’obscurantisme n’arrangent rien nulle part.

Les viols, la pédophilie gangrènent les sociétés depuis toujours ; Ces perversions ont pris un tour industriel comme le reste avec la domination bourgeoise et les développements technologiques. « Science et domination sans conscience ne sont que ruine de l’âme ».

Mais en France aujourd’hui, avec des systèmes juridiques et sociaux ; certes dégradés mais entièrement ou presque entre les mains de femmes, les choses ont changé tout au long des 30 glorieuses ; jusque même dans les cultures musulmanes.

La tendance au totalitarisme et à l’égoïsme du parti idéologique extrémiste au pouvoir durcit les conditions (vote refusant l’augmentation des indemnités aux handicapés mais parachutant l’argent pour la guerre sanitaire) mais les principes de liberté et d’égalité des droits sont cependant bien établis.

La réalité plus profonde me semble être que l’espèce humaine est épouvantable d’agressivité et de cruauté. Les femmes sont moins portées que les hommes à la barbarie; ou plus exactement pas pour les mêmes motifs et pas avec des méthodes aussi visiblement brutales que les hommes.

L’autre réalité, particulièrement visible avec l’hystérie sanitaire créée de toute pièce par les médias actuelle, c’est qu’on a créé massivement chez les femmes des « désirs qui les affligent » (Alain Souchon) : sans parler des désirs consumériste, des injonctions à faire du sport et de l’infobésité, en plus des naturels besoins relationnels avec les autres, il s’agit pour une femme d’aujourd’hui pour se réaliser pleinement, d’avoir une vie professionnelle en plus d’une vie domestique et familiale; et cela en parallèle de la vie professionnelle, plus ou moins domestique et familiale d’un éventuel conjoint.

« Qui trop en veut, finit par tout perdre » : Nous serons d’accord sur le constat que le stress des femmes est plus important que celui des hommes dans ces conditions. Mais il ne vient pas spécifiquement de l’augmentation du stress, bien réelle au demeurant, dans le travail ; il vient d’abord de la conjonction des injonctions sociétales et du parallélisme introduit dans les rôles entre hommes et femmes. De nombreuses femmes indépendantes d’esprit osent dire que la condition féminine a perdu plus qu’elle n’a gagné dans cette évolution sociétale.

Après-guerre, en plus de l’application pleine et entière de l’article premier des droits de l’Homme et de la Citoyenne (naître libre et égaux en droits), il aurait fallu compléter le système social pour donner l’indépendance aux Femmes dans le cadre de leurs inclinations mais sans les surcharger d’un travail traditionnel déjà bien chargé avec latitude décisionnelle avec un travail supplémentaire qui plus est à faible latitude décisionnelle. (Il aurait fallu aussi autoriser l’échange des rôles et au passage autoriser moralement les hommes à exprimer des sentiments…)

Par exemple, avec la sécurité sociale, on aurait pu créer une rémunération suffisante pour reconnaître à celles qui l’auraient souhaité, la valeur sociétale de l’éducation des enfants ou simplement la valeur sociétale des tâches domestiques ou même simplement la valeur de la contribution à la redistribution économique (pour le cycle économique il faut non seulement produire mais aussi consommer et toute consommation contribue au bon fonctionnement sociétal).

Peut-être y arrivera-t-on après cette troisième guerre qui vient de se déclarer sous des dehors sanitaires fallacieux, propagandistes et corrompus ; guerre d’un 0,1% richissime au système d’exploitation et de domination épuisé, contre presque toute l’humanité.

Mais au contraire d’une reconnaissance d’un travail traditionnel d’alors et des conditions de liberté accrue (l’indépendance est une forme de liberté), on a fait massivement croire aux femmes par propagande médiatique qu’elles seraient plus heureuses en travaillant comme salariées.

Cette Nième manipulation médiatique de masse depuis le catholicisme et son inquisition (qui brûlait les sorcières alors qu’elles étaient les médecins naturopathes de l’époque) relève du machiavélisme des épouvantables dominants de l’espère humaine. Elle reflète à la fois leurs limitations intellectuelles et leur sociopathie car son seul but était la pression salariale sur la rémunération du travail pour l’augmentation de la rémunération du capital.

Le même but qu’avec l’immigration massive venant elle-même après les décennies de délocalisations massives mettant en concurrence le travail en Europe avec l’esclavage dans les demis, tiers ou quarts mondes.

Ce sont les vagues de la même marée expliquant que la part du PIB soit passé de 75% au travail dans les années 50 à 25% actuellement ; corroborant des inégalités actuelles au plus haut ; égales à celles de 1900 suite à quoi deux guerres mondiales ont été nécessaires pour purger cette situation sociétale insupportable.

Dans ce contexte l’argument du faible nombre de femmes de pouvoir par rapport au grand nombre d’hommes de pouvoir me semble n’être qu’un simple reflet statistique des inclinations personnelles. Pour obtenir un poste il faut se battre contre les rivaux et beaucoup de femmes ne se battent que pour des causes plus fondamentalement humaines. C’est pourquoi ce sont elles qui font les révolutions.

Pour tenir un poste, seule la tête bien faite et bien pleine adaptée au poste est importante. Les obligations de parité en sont qu’un palliatif dangereux pour l’efficacité. Malheureusement, avec l’oligarchie actuelle au pouvoir, la méritocratie s’en est allée et ceux qui décident n’ont pas toujours eux-mêmes ces qualités.

La complémentarité dans le respect et l’exploitation des différences plutôt que l’unicité androgyne à laquelle l’Education Nationale, Netflix, et les médias s’emploient activement tout en dévalorisant les garçons donnerait une évolution plus respectueuse de la nature humaine et humainement bien supérieure aux effets des psychopathes successeurs des Laurent Alexandre, Bill Gates, Jacques Attali… qui naîtrons de la tendance actuelle concomitamment à cette réification transhumaniste des êtres pour succéder aux « narcisses qui ont pris le pouvoir » (Marie-France Hirigoyen).

La solution ? déconsidérer les médias du capital et promouvoir une idéologie alternative attractive : l’idéologie de la qualité  http://www.deboutlafrance.fr/2020/09/lideologie-de-la-qualite/        

On ne planifie pas un cancer généralisé


La vie, c’est mal

l y a quelque chose d’extraordinaire avec les élites : elles ne cachent rien. Et si vous aviez l’une d’entre elles devant vous, elle vous dévoilerait tous ses secrets en toute naïveté. Il n’y a donc rien à découvrir ; tout se sait. De quoi parle-t-on, que fait-on dans les salons feutrés des élites ? On joue à se faire peur avec le risque de longévité. La chose est bien connue des actuaires et des assureurs. Elle fait frémir d’horreur les investisseurs. Les sociétés BlackRock, Vanguard, State Street et compagnie sont les principaux investisseurs de la planète en fonds cotés en bourse. Ces multinationales tentaculaires ont des parts dans toutes les sociétés du monde ou presque, avec la haute main sur des dizaines de milliers de milliards de dollars d’actifs : prenez un 1 avez treize zéros derrière et vous serez encore en dessous du total. La puissance de ces institutions s’étend sur toute la planète ; elle est délirante, au delà des possibilités des états les plus puissants. Elles contrôlent plus de trente fois le PIB de la France. Elles sont les chefs d’orchestre de l’économie globale. Mettez tous leurs dirigeants dans une petite pièce et vous changerez la face du Monde… ou du moins la moitié : l’autre moitié est contrôlée par les fonds de pension, qui gèrent la retraite des vieux par capitalisation. Ces deux Léviathan s’accordent sur un point : le risque de longévité est peut-être la pire calamité qu’ils vont avoir à combattre.

Qu’est-ce que le risque de longévité ? Inassurable, indiversifiable, incontournable, c’est Armageddon, la fin programmée de toute finance capitalistique. Les plus courageux pourront consulter cet article tiré de la Revue française d’économie. Le risque de longévité est peu connu en France car on y jouit d’une retraite par répartition (le Diable pour les néo-libéraux). Quand on a l’habitude des retraites par capitalisation, on comprend mieux.

Dans les pays libéraux, on finance sa retraite par l’épargne. Puis, quand on atteint 60-70 ans et que l’épargne est suffisante, on la convertit en rente viagère via un fonds de pension, par exemple sous la forme d’assurances-vies. Une rente viagère, c’est une rente qu’on touche jusqu’à la mort («viager» vient de l’ancien français «viage», la durée de la vie). Le fonds de pension fait donc fructifier ce capital afin de verser une rente au retraité. Mais ce capital est dans la quasi-totalité des cas bien trop faible pour couvrir les besoins minimaux d’une personne uniquement à l’aide des intérêts : il faut rogner le capital. Ainsi au bout d’un certain temps il n’y a plus de capital et pour tenir ses engagements le fonds de pension est obligé de payer la rente de sa poche… et perd de l’argent. La survie du pensionné au delà de cet âge limite est appelé risque de longévité, car au delà le fonds ne fait plus de profits. Il espère donc que le brave retraité va avoir la courtoisie de mourir avant terme. L’humain parfait pour un fonds de pension, c’est un individu qui travaille et épargne jusqu’à ce qu’il devienne improductif et, à partir de ce moment, dans les 70 ans, il tolérera sa survie tant que son épargne couvrira ses frais vivriers, mettons jusqu’à 80 ans. Au delà, sa mort sera souhaitée, encouragée, provoquée peut-être.

Vous aurez sans doute remarqué que toutes les crises financières majeures – celles non-voulues par les élites – sont toujours suivies d’une «pandémie mondiale». En 1998 a été organisé l’arnaque de la grippe aviaire, juste après la crise des marchés obligataires de 1998 qui a failli détruire le système financier mondial. En 2009 s’est terminée la crise des subprimes qu’on a cru être la Der des Ders. Dans la foulée, dès le printemps de la même année, on a imposé une pseudo-pandémie H1N1 avec propagande vaccinale au Pandemrix toxique rendant les gens narcoleptiques. Les «pandémies» servent de parachute de secours à la haute finance depuis plus de 20 ans. Depuis 5 ans tous les spécialistes mondiaux de la finance s’époumonent pour alerter sur l’imminence d’un krach majeur qui engloutira tout. Les banques n’ont plus de fonds propres et tous les investisseurs, à force de jouer de l’effet de levier, sont à la limite du défaut de paiement : un seul fait faillite et tout le système s’effondre. Il a donc fallu inventer un prétexte pour perfuser directement les investisseurs privés avec l’argent du public via des «aides» de l’État et des emprunts à taux négatifs. Ce prétexte, c’est encore une pandémie : la COVID-19. Et comme l’économie est exsangue, foutue, les élites n’ont plus le choix : il faut instaurer une dictature pour garantir des rentrées d’argent à hauteur de leurs dettes, directement du compte bancaire du citoyen à celui de l’actionnaire sans même passer par la consommation commerciale, devenue un prétexte inutile.

Le risque de longévité n’est donc plus autorisé : il faut que les gens meurent avant 80 ans, point. Mais avec toute cette armée de vieux qui débarque du Papy-boom, c’est la catastrophe ! Quinze années de vagues blanches en vue, la déferlante ! La faillite ! L’effondrement final ! C’est là que la COVID-19 intervient. Dans tous les pays on a fait voter (ou décréter, comme en France) l’autorisation d’euthanasier les malades de la COVID-19, sur la base d’un test bâclé qui répond positif au bout de quelques essais. Il suffit d’obliger les vieux à se faire tester régulièrement pour pouvoir les piquer tranquillement. On les met de force sous respirateurs, violemment intubés, puis on leur prescrit des opiacés pour traiter l’angoisse provoqué par le «traitement», le tout suivant les recommandations officielles des autorités sanitaires. Comme les opiacés sont des dépresseurs du système respiratoire, les patients étouffent. Alors on peut les piquer tranquillement, les achever au Rivotril ou au Valium en intraveineuse suivant les mêmes recommandations sanitaires. Il faut alors que tout autre stratégie de soin soit interdite, le but étant de tuer, non pas de guérir. On déclare alors toxique des médicaments massivement consommés depuis des décennies sans jamais tuer personne juste parce qu’ils ont le malheur d’être efficaces contre la COVID-19. Par contre le Doliprane, un poison pour le foie occasionnant des lésions graves, parfois mortelles même à dose thérapeutique, est prescrit systématiquement en cas de COVID-19. Ce produit est bien évidemment parfaitement inefficace contre la maladie.

C’est pour cela aussi qu’en pleine «pandémie» le premier réflexe du gouvernement français a été de fermer des lits d’hôpitaux – 5700 en 2020 – et de réformer les retraites. À bas la retraite par répartition qui échappe à la rapacité des fonds de pensions ! La retraite par répartition résout automatiquement le risque de longévité par la solidarité intergénérationnelle. Mais voilà, cette retraite est financée par… des cotisations patronales. Ce sont in fine les investisseurs qui paient pour le peuple. C’est équivalent à un risque de longévité généralisé à tous les plus de 65 ans, le pire scénario imaginable pour un néo-libéral. C’est intolérable !

La vie, c’est bien seulement quand ça rapporte

Le vaccin fait partie de cette gestion du risque de longévité. Il faut à la fois que le travailleur survive jusqu’à 65-70 ans pour engraisser l’assurance-vie et aussi qu’il décède dès 80 ans passés. Pour le décès, c’est réglé. Mais pour sa survie le travailleur sera traité suivant les méthodes éprouvées en médecine vétérinaire : antibiotiques et vaccins administrés en masse, obligatoires et réguliers. Comme cela on garantit la survie des esclaves au plus faible coût, à l’instar des vaches à lait et des poulets en batterie, juste ce qu’il faut pour qu’ils soient rentables. Nul besoin de médecins de ville : au moindre cas détecté, on injecte en masse et on conserve quelques hôpitaux pour les cas d’urgence. En fait, la simple survie de l’employé est suffisante pour engraisser le Capital, C’est pour cela que les laboratoires et les gouvernements se fichent des effets indésirables des vaccins : ils savent – ou croient savoir – quelle proportion de personnes mourra et quelles maladies elle aura. Ils supposent que les vaccins causeront majoritairement des dégâts non létaux, qui n’impacteront pas outre mesure les capacités minimales de travail, mais qui écourteront l’espérance de vie d’une vingtaine d’années, plaçant l’âge de la mort à 65 ans, l’âge idéal pour crever selon les investisseurs institutionnels.

Les vaccins n’ont pas été conçus pour tuer mais pour rapporter de l’argent et imposer une vision vétérinaire de la médecine. Ne vous inquiétez pas, vos maîtres ne veulent pas vous assassiner, ils souhaitent juste que vous ayez envie de mourir dès qu’ils n’auront plus besoin de vous. Si par malheur une hécatombe vaccinale survenait, les investisseurs seraient tranquilles : les états ont signé à tour de bras des décharges de responsabilité : le peuple paierait toutes les conséquences de son propre empoisonnement, nourri par un discours rappelant celui du violeur déclarant à la Cour : «Je n’ai violé personne puisque j’étais consentant !» Il faut que le peuple accepte de se faire traiter comme une vache dans une étable surpeuplée. Les masques et la vaccination sont des exercices de soumission destinés à éduquer une population d’esclaves. La mort, elle, sera conseillée aux improductifs finaux : les personnes trop âgés pour pouvoir rapporter des dividendes aux investisseurs. Les vieux actionnaires, les vieillards milliardaires, eux, ne sont bien entendu pas concernés.

Les psychopathes aux commandes souffrent d’une aversion non pas au risque mais à la surprise. Leurs profits sont planifiés sur des dizaines d’années. La seule solution pour conserver une rentabilité minimale de 5 % tout au long de leur existence c’est de contrôler la vie des gens dans ses moindres détails afin d’éliminer toute surprise, afin de garantir tous les investissements, y compris les rentes viagères. Dans un monde où le déterminisme est absolu, nécessairement la liberté est interdite et la mort programmée. C’est ce qu’on nomme le totalitarisme, la version la plus efficace du capitalise néo-libéral.

« La crise mondiale, il faut que nous lui apportions une réponse mondiale. J’en appelle à tous les gouvernements. Aucun d’entre nous n’en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que font les autres. Aucun. Nous avons besoin du dynamisme de chacun pour deux choses. La première : trouver un nouveau système de régulation. Ce sera l’enjeu du Sommet de Londres. Je puis vous dire une chose : l’Europe aura une position commune et forte. Je puis vous dire une deuxième chose : nous n’accepterons pas un Sommet qui ne décidera pas. Je puis vous dire une troisième chose : on ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer. »

Nicolas Sarkozy, Paris, le 16 janvier 2009

Le nouvel ordre mondial est connu de tous depuis des décennies. Au Forum Économique Mondial, tout cela est annoncé, débattu en détail au vu et au su de tous. Il n’y a rien de secret ; il s’agit juste de notions techniques connues des financiers, des assureurs, des banquiers et des actuaires. Les papiers blancs de cette organisation expriment une angoisse palpable qui confine à la panique tant les postures adoptées y sont contradictoires. Le grand âge est à la fois une bénédiction et une malédiction. Les personnes âgées ne sont plus capables de travailler mais doivent tout de même continuer. On se demande si on peut se permettre de vivre jusqu’à 100 ans. Sinon quoi ? Tous les documents prennent soin de ne pas pointer du doigt l’éléphant dans le placard : que faire des inutiles ? Dans la France du milieu du XX e siècle, 45 % de la population active était paysanne. Aujourd’hui, ce pourcentage n’est plus que de 3,6 %. Meure-t-on de faim en France ? Bien au contraire : le pays est en excédent agricole permanent ; alors il faut se rendre à l’évidence que 41,4 % de la population active n’est pas nécessaire aux activités vitales. Autrement dit, les personnes âgées n’ont pas à travailler pour assurer le niveau de vie de tous le pays. Cela, les notables du Forum Économique Mondial ne l’ont pas compris ; ils redoutent un cataclysme là où la civilisation technologique nous libère du labeur de nos ancêtres. Les plus grands spécialistes de l’économie globale se révèlent complètement psychotiques. La civilisation financière capitalistique est prise d’une bouffée délirante à la vue de sa fin toute proche, précipitée par ses contradictions internes. Par son pouvoir hégémonique, elle se permet aujourd’hui d’appliquer des politiques que la décence ne permet pas d’exprimer. Qu’importe ! Ils ont aujourd’hui un prétexte qu’ils défendent bec et ongles : la COVID-19.

Le concept qui explique tout, qui devrait scandaliser la planète entière, est celui-ci : risque de longévité. Dans quel monde peut-on concevoir que vivre longtemps est une malédiction ? Que la frugalité est un péché ? Quelles esprits malades ont pu imaginer pareilles perversions au point qu’on puisse souhaiter rationnellement la mort d’une partie de la population pour gaver une autre ? On pense à L’Àge de cristal , à Soleil vert et on se dit que la fiction s’inspire toujours de la réalité ; elle est juste imaginée par des gens plus perspicaces que le commun, mais assez prudents pour édulcorer les faits afin de divertir au lieu d’inquiéter. Il suffit pourtant d’ouvrir les yeux et de contempler car la réponse est sous notre nez depuis des décennies.

Ce qui nous apparaît comme un plan est la convergence mécanique des intérêts communs des fonds de pension et des fonds d’investissements face à la manne du papy-boom. C’est la crise financière imminente qui les a décidés à radicaliser leurs approches. Mais leurs méthodes sont anciennes et appliquées depuis longtemps, seulement connues de spécialistes barbants. Invite-t-on des actuaires aux fêtes populaires pour égayer l’ambiance ? Ces méthodes sont devenues systématiques et mondiales grâce aux conglomérats médiatiques et, bien évidemment, aux petites mains politiques. Les Maîtres du Monde sont peu nombreux. Il n’est pas difficile pour les élites aux commandes de se réunir autour d’une table de restaurant à l’Automobile Club ou d’en discuter durant leurs réunions annuelles du Billderberg. Ces réunions sont comme des clubs de pétanque de village, mais peuplés de milliardaires et d’hommes de pouvoir : voter leur bilan comptable c’est décider de l’avenir de l’économie mondiale ; ça n’est qu’une question d’échelle. Ces clubs de privilégiés, à l’instar des associations locales, sont percluses de petites rancœurs, de querelles mesquines entre pairs. Dans le monde des grands prédateurs, on s’entrecraint plus qu’on ne s’entraide. Si il y avait un plan, il serait bien vite abâtardi par les plus cupides, toujours prêts à sacrifier la communauté pour leurs intérêts personnels. C’est pour cela que les riches sont organisés en familles autour de patriarches : Mulliez, Bouygues, Bettencourt, Dassault, etc. Elles n’ont rien à envier aux mafias.

Il n’y a pas de plan, il n’y a pas de notes de services avec propos liminaires, sommaire et distribution des tâches. Il y a juste des intérêt institutionnels qui se sont mis à converger face à la crise dégénérative de leur idéologie financière commune. L’union faisant la force, tous les détenteurs d’autorité, publics et privés, se sont unifiés sous la bannière COVID-19, sans même avoir eu besoin d’y réfléchir. Comme toujours, quand les élites sont en crise, elles se défoulent sur le peuple. Et là, tous les coups sont permis : destruction des libertés publiques, mensonges généralisés, fraudes systématiques, assassinats de masse, etc. Puis, quand le peuple sera maté, elles se dévoreront entre-elles pour laisser au final une terre gaste à rebâtir. Tout s’est préparé en pleine lumière à partir d’une structure peu à peu déformée, enflée, monstrueusement boursouflée telle un organe devenu cancéreux dévorant tout «quoi qu’il en coûte».

La vie, c’est bien aussi quand c’est la mienne

Dans la forme sinon dans les faits, en France, l’un des portes-paroles majeurs de l’intelligentsia ultra-libérale est Jacques Attali. Ce personnage ne mérite pas tant d’égards ; mais depuis longtemps il a transcendé sa nature humaine pour devenir le symbole de la doxa financière y compris dans ses aspects les plus spirituels. Après tout, il n’avait qu’à pas se mettre tant en avant dans les médias aux ordres de ses maîtres. Il se révèle alors bien commode pour sonder les angoisses du petit cercle fermé des fous de la finance. Inutile de se fatiguer à écumer les colloquiums et autres workshops en spécialités arides : il suffit d’écouter les belles histoires de l’Oncle Jacques et nous voilà informés des phantasmes et des craintes du clan des possédants. Jacques Attali écrivait ce qui suit dès 1979 :

« Mais dès qu’on dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société. D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être de rallonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur d’une même durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possibles en termes de coûts pour la collectivité. »

L’avenir de la vie, 1979, page 273

Ne vient-on pas de lire l’exacte définition d’une vie conforme au risque de longévité maîtrisé ? Les idéologies forment jusqu’à la perception que l’on a de la réalité. Pour un ultra-libéral doctrinaire, le risque de longévité est réel. Mais pour un autre type de croyant, mettons un socialiste, qu’en serait-il ?

« Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. »

L’avenir de la vie, 1979, page 275

Jacques Attali se défend de faire l’apologie de l’euthanasie. Dont acte, il ne la fait pas. Il se contente d’énoncer ce qu’il pense être les conséquences naturelles de la structure de l’Univers : il croit sincèrement que la mort est l’avenir de la vie tout comme la nuit est le futur du jour. Pourquoi pense-t-il cela ?

« Je suis pour ma part, en tant que socialiste, objectivement contre l’allongement de la vie car c’est un leurre et un faux problème. Je crois que se poser ce type de problème permet d’éviter des questions plus essentielles telle que celle de la libération du temps réellement vécu dans la vie présente. À quoi cela sert de vivre jusqu’à 100 ans, si nous gagnons 20 ans de dictature. »

L’avenir de la vie, 1979, page 274

Jacques Attali, un socialiste ? Quelle est cette sorte de socialisme qu’embrasse ce suppôt du capitalisme le plus brutal ? Face à un tel oxymore, faut-il encore expliquer la différence entre un capitaliste et un socialiste ? Il faut croire que oui, plus que jamais. Le capitaliste est celui qui tient pour valeur faîtière la propriété scripturale, celle qu’on nomme abusus en droit romain, le fait de détenir un papier affirmant : «Ceci est à moi !» Pour un tel être, la seule activité méritoire est celle qui rapporte au capital : dividendes, intérêts, loyers, fermages, etc. Le fructus, le fruit du travail des hommes, doit revenir à l’abusus, le propriétaire de papier. Le retraité touche une pension sans faire fructifier le capital de quiconque : c’est donc un inutile, un oisif, un parasite méprisable. Pour un capitaliste, le vieillard ne vaut rien ; c’est un déchet dont la seule valeur philosophiquement acceptable est celle qu’il a pour lui-même, c’est-à-dire la jouissance qu’il tire de son propre corps. Selon les termes de Jacques Attali l’euthanasie est envisageable, souhaitable même, quand la vie ne fournit plus les jouissances narcissiques que l’individu en attend. On découvre la nature de la psyché capitaliste quand elle atteint la limite de son idéologie : le corps des autres pour son profit et son propre corps pour son plaisir ; autrement dit, l’égoïsme absolu.

Le véritable socialiste – qui n’a bien évidemment rien à voir avec les partis soi-disants socialistes ni avec Jacques Attali – se pose à l’opposé du capitaliste suivant les concepts issus du droit romain. Pour le socialiste, la plus haute valeur réside dans l’âme des hommes qui se rassemblent en communauté, j’ai nommé la société. Cette communauté fait des choix structurants fondés sur des principes, par exemple que tous les membres de cette société ont droit à une vie digne, peu importe le prix. Nous l’avons décidé, l’intendance suivra. Le coût des soins des personnes âgées ne se discute donc plus. Le retraité est réputé jouir d’un travail libre : il décide en son âme et conscience de l’activité à poursuivre pour le reste de ses jours tout en étant rémunéré pour l’accomplir. Qu’il se constitue professeur émérite, conteur en éducation populaire ou nounou de ses petits-enfants, il a acquis le droit de choisir ce qui est bon à ses yeux de faire pour la communauté. À l’instar des anciens dans les sociétés traditionnelles, les retraités sont vénérés pour leur savoir, leur expérience, leur sagesse parfois, et pour le lien qu’ils incarnent entre la fragilité du présent et la mémoire vivante des temps héroïques. La valeur des soins apportés aux personnes âgées – aux inutiles, aux non-rentables – atteint même une forme de sacré car elle incarne le principe même des buts de la société : la dignité pour tous, même pour les inutiles, même pour les non-rentables. Les séides écolo-libéraux tentent de valoriser les déchets. Mais dans le socialisme, il n’y a pas de déchets. Dans une telle conception, seul le travail allant dans le sens du bien commun est honorable, et la propriété dite d’usage revient donc automatiquement à celui qui s’en sert dans ce but. Au sens du droit romain, le crible de la pensée politique des pays latins, le fructus revient à l’usus, au détenteur de la propriété d’usage, celui qui rapproche le corps social de ses objectifs désignés.

Comment décrète-t-on les objectifs d’une communauté ? Pour le capitaliste, c’est simple : il faut préserver le respect absolu de la propriété. Il faut donc qu’en tous temps et en tous lieux le papier où est apposé le nom du propriétaire soit vénéré comme l’Évangile au Vatican. Il faut des lois universelles et une police mondiale pour protéger l’unique arbitraire acceptable sur Terre : que tel papier arborant tel nom – celui-là et pas un autre – a une valeur incontestable. Le capitalisme s’étire aussi loin qu’il peut et se métastase invariablement en état policier, en dictature et en totalitarisme, puisqu’au final tout devient propriété, tout appartient à quelqu’un, absolument tout. On peut donc décider que votre corps ne vous appartient pas et vous injecter un vaccin de force pour le bien de ce qu’aura décidé l’intendant de votre propriétaire, le gouvernement par exemple. De même, votre parole est propriété d’un autre et peut donc être interdite ; votre esprit n’est pas â vous : il y a des choses qu’il ne faut plus penser et des pensées qui doivent être exterminées jusque dans l’intimité de votre âme, comme par exemple l’idée que vous pourriez refuser de vous faire piquer, l’idée que vous pourriez disposer de votre corps alors qu’il appartient à quelqu’un qui n’est pas vous. Le capitalisme tend vers l’hégémonie totale ; il encourage donc tout ce qui massifie les peuples : l’industrie, la consommation, la normalisation, l’universalisme, le mondialisme, l’humanisme et tout ce qui détruit l’individualité. Il déteste tout ce qui émancipe les peuples et combat tout ce qui menace l’ubiquité des titres de propriété : l’artisanat, la frugalité, la qualité, l’autodétermination, la souveraineté, le libre-arbitre, toutes ces choses diabolisées par les médias aux mains des milliardaires et des banquiers, soit plus de 90 % des organes d’information.

Dans une société socialiste, il faut que le peuple décide et trouve un moyen de transcender les divergences qui le traverse. Les philosophes des temps passés, à l’inverse des intellectuels qui encombrent les téléviseurs, ont déjà guéri cette schizophrénie essentielle du peuple : «une société qui se reconnaît divisée, c’est-à-dire traversée par des contradictions d’intérêts, et qui se fixe comme modalité d’associer à parts égales chaque citoyen dans l’expression, l’analyse, la délibération et l’arbitrage de ces contradictions», écrivait Paul Ricœur, une telle société «est démocratique». À l’inverse du capitalisme, le socialisme tend vers la démocratie, et au delà vers son ultime limite : l’anarchie, la forme la plus élevée de l’ordre, celui où tous les individus sont pleinement libres de choisir le but informulé de tous les membres de la société. Cette utopie, cette asymptote inaccessible, est forcément diabolique pour Jacques Attali :

« Le concept de liberté va devenir de plus en plus perverti, et c’est ça qui est fascinant dans cette évolution et c’est peut-être pour cela qu’elle est le plus terrible, c’est qu’elle va récupérer tous les concept, y compris celui de liberté, je dirais même y compris les idées d’Illich dont vous parliez tout à l’heure. Parce qu’est-ce que c’est que cette société de machines [N.D.R. médicales] qui nous apprend à nous surveiller nous-mêmes ? C’est une société qui dit : « Soyez libres », « débarrassez-vous du médecin », « soignez-vous vous-mêmes », « sortez de l’hôpital », ce que dit Illich ! Et autrement-dit, elle va sous prétexte de liberté, sous prétexte d’autonomie, créer les conditions de l’aliénation la plus formidable, qui est en quelque sorte l’aliénation par soi-même, volontaire, à une norme imposée de l’extérieur. »

Parlons de médecine « Où va la médecine ? », seconde partie, Antenne 2, 1979

Autrement dit, être libre c’est être l’esclave de sa propre conscience sociale. Laissons-nous donc guidés par les financiers et nous serons délivrés du joug pervers de cette liberté fantoche qui n’est que celle d’arbitrer en son âme étriquée le but futile de faire le bien commun. Pourquoi un tel individu se prétend socialiste ? Pourquoi les «socialistes» contemporains, comme Jacques Attali, François Hollande ou Emmanuel Macron, prônent-ils des politiques ultra-libérales ? Parce que dans l’imaginaire collectif «socialiste» signifie «gentil» et «ultra-libéral» veut dire «méchant». Peut-on raisonnablement choisir de vendre une politique «méchante» en se prétendant «gentil» ? Qui oserait donc faire preuve d’un tel cynisme ?

Jacques Attali est selon la conception de Georges Dumézil un oratore, une sorte d’ecclésiastique dont le rôle tribal est d’énoncer les mythes et la morale de son clan. Il prophétise au sens religieux, c’est-à-dire qu’il énonce les désirs de son seigneur Mammon, le Veau d’or, le dieu Argent des capitalistes. Ce qu’il décrit, c’est la société qui nous attend si nous laissons faire les ultra-libéraux, dont il est le héraut. Tel un barde des temps modernes, il chante la saga des financiers, il vante la noblesse des investisseurs. Il vénère aujourd’hui le Moloch vaccinal prêt à dévorer tout ce qui vit et promet le Schéol à ceux qui s’y opposeront :

« Nous n’aurons pas de seconde chance. Si nous ne nous y mettons pas sérieusement au plus vite, nous regretterons cette pandémie, comme un de nos derniers moments heureux. »

La pandémie, et après ?

Soyons honnêtes, ce qu’il raconte depuis des décennies n’a rationnellement aucun sens. Sa nécrophilie poétique, quoique divertissante, ridiculise ses propos. La pandémie un souvenir heureux ? L’allongement de la vie une malédiction ? Un fait majeur transcende la portée de ses fables : ce sont ses maîtres financiers qui ont gagné, qui dominent aujourd’hui la planète et qui dictent leur loi. Par l’autorité des chiens fous, des COVIDistes azimutés, la fable est devenue vérité. Il n’est alors pas étonnant de voir se réaliser tous les rêves d’absolu des possédants pathologiques.

J’entends dans l’oreillette un propriétaire à l’indignation criarde : «Ah ! Vous êtes antisémite ! Vos possédants, avouez-le, ce sont en fait des juifs ! Ah !» Mon cher propriétaire, tes vociférations ont l’âge des élucubrations de Jacques Attali : plus personne ne les écoute. Elles ne sont que les braillements d’horreur des vieux possédants souffrant l’agonie de leur modèle de civilisation. Eux qui se prétendaient «socialistes» pour vendre l’Enfer ultra-libéral au peuple et son Paradis aux nantis, ils se prétendent maintenant «juifs» pour échapper au bilan de leur société. La bête aux abois se débat ; elle s’abaisse à toutes les ignominies, allant jusqu’à se creuser un dense terrier barricadé par les cadavres des temps passés. Penser une seule seconde que ces gens sont juifs, que l’on parle de juifs, le voilà le véritable antisémitisme.

Le monde d’après n’a que faire de ces discours galvaudés justifiant une fuite en avant qui nous mène aujourd’hui au désastre. La population se sent à ce point détachée de ces marronniers qu’elle ne prend même plus la peine de voter. Messieurs les Maîtres du Monde, nous aussi nous avons un plan et il ne va pas vous plaire. Nous vous promettons l’Enfer, la souffrance indicible du pire des châtiments : nous vous condamnons à devenir des citoyens ordinaires. Ça sera bien suffisant.

Derrière le nouveau Powerpoint de Microsoft…


Vous les américains -GAFAM qui plus est- n’êtes pas chez vous partout dans le monde : donc d’abord, adressez-vous à moi dans ma langue : le français !

Ensuite, je ne comprends rien à votre verbiage et je n’ai pas de temps à perdre avec des changements qu’on ne vous a pas demandé (démocratie….)

Et enfin, vous forcez à créer des comptes chez Microsoft à l’installation de tout ordinateur avec votre logiciel de système d’exploitation hégémonique. Comme la nécessité (là-encore et là-aussi) se trouve très peu expliquée et grandement imposée, il en résulte que j’ai plusieurs comptes. Comme vous avez introduit les comptes professionnels après les comptes personnels cela complique encore les choses.

Du coup, votre logiciel Teams mélange les différents comptes professionnels de sorte que je n’en ai, de fait, plus l’usage. (ça ne me gêne pas trop)

Et comme toujours dans les entreprises capitalistes, aucun support accessible pour traiter le problème….

Cette manipulation pour mise en dépendance informatique relève de la même idéologie que la mise en dépendance par l’identité numérique injectable qui se cache derrière le covid, la vaccination forcée, l’Ausweiss sanitaire et l’apparteid imposé par les organisation dépendant de Bill Gates via sa fondation, le trust qui y est adossé, Microsoft et big pharma via la finance.

On écoutera avec intérêt à ce propos la chronique de Campagnol de juillet-août qui traite des mises à jour…..

Peut-être pourriez-vous faire lire à Bill Gates la déclaration des droits de l’Homme et sur www.deboutlafrance.fr l’idéologie de la qualité

Covid : La raison idéologique du déni


Toutes les considérations soit-disant démontrées à partir d’incroyables non-significativités statistiques,

, toutes ces mesures prétendument « barrières » et pourtant scientifiquement inefficaces…

  • sur la protection des cas graves par les injections d’ARN ou d’ADN,
  • ces besoins de tests en plus même des injections dont on sait qu’ils sont faux
  • sur les mesures d’éloignement qui ne servent à rien
  • sur les masques ni sont comme vouloir arrêter la poussière avec du grillage mais qui perturbent yeux, bouche, coeur
  • sur le gel qui détruit plus la peau qui ne sert à désinfecter des virus qu’on ne respirera pas et qui devront au pire passer la barrière intestinale

Toutes ces contradictions pour potentiellement :

….

  • vendre et faire monter l’action des multinationales pharmaceutiques,
  • contrôler la contestation, (passe sanitaire)
  • ou pour s’assurer d’un maximum de contrôle futur par un tout petit nombre grâce un différentiel de technologie….

Tout cela est beaucoup trop confus pour être vrai.

Tout ces incohérence sont le symptôme de l’alliance de l’incompétence, de l’ignorance voire la bêtise des zélites qui ne comprennent rien à beaucoup de choses sauf peut-être l’art des sophismes pour la domination.

Car quand on a compris, on découvre que la nature fait dans le simple. Un peu comme quand on trouve 2/3 à un problème de physique ou de math…. Même si, parfois, de nombreux enchainement simples sont nécessaires pour expliquer la mécanique globale des choses.

La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. Les malades normaux permanents que sont les vivants exhalent des exomes en permanence de par le fonctionnement naturel du système immunitaire interne participant à la dégradation dû au renouvellement naturel des cellules et à la lutte permanente contre les agresseurs.

Les conditions atmosphériques détruisent ce qu’elles peuvent de ces restes biologiques exhalés. Au hasard de la propagation d’autres individus respirent ensuite ce qui reste et exhalent à leur tour leur production. Sauf conditions particulières c’est un système amorti : Respirer en montagne ou au bord d’une mer bien ventée ou même à la campagne est connu pour être plus sain que les salles ou le métro…. Par ailleurs les gens en bonne santé immunitaire se défendent mieux que les autres ; En particulier les natifs d’Afrique semble t-il puisqu’on les élimine des échantillonnages d’études sur les effets secondaires des sniscav à virus atténués pour les besoins des procès déclenchés aux Etats-Unis.

Il faudrait d’ailleurs se pencher scientifiquement sérieusement sur ces différences de réceptions selon les métabolismes d’été / d’hiver, d’hommes / de femmes, de bébés / d’adolescents / d’adultes jeunes / d’adultes vieux, de races…. (et peut-être aussi cesser de couvrir les effets des inoculations de virus animaux en même temps que les virus atténués…. mais c’est une autre -mais néanmoins toute une, histoire….)

La méconnaissance de la nature engendre la peur; laquelle, ajoutée à un effet de sidération et faute de connaissances n’est plus maîtrisée par le cortex. Les comportements deviennent aberrants et comme ils sont massivement suivis, la folie devient la norme. Ceux qui ont gardé un brin de cortex sont pourchassés comme des pestiférés, des galeux, assimilés à des des terroristes oubliant que les complotistes de toujours ce sont les milieux proches du pouvoir, les financiers, les religieux, les politiques occultes et leurs cénacles; connus mais discrets. Alors pour compenser on fait danser le peuple autour du totem, on invoque la religion de la science, on sacrifie jeunes pas menacés en les pikouzant et vieux au Rivotril. On sacrifie les adultes en interdisant les soins et en conseillant à la place une molécule toxique à faible dose…. On sacrifie, on sacrifie tous azimuts en espérant calmer les dieux !

Hormis la sourde destruction à bas bruit de la santé chez des millions de gens, (l’exploitation qui en est faite, la destruction des systèmes autrement que par l’écroulement du système financier et les gesticulations politiques et médiatiques diverses), il ne se passe paradoxalement rien d’important sur le plan biologique; tout au plus la sécurité de laboratoires dangereux et les idées farfelues de fanatiques technologistes qui n’ont rien à envier aux célèbres Talibans et qu’il faudrait, les deux, mieux maîtriser.

Mais tout à la peur émotionnelle, on réfute sans réfléchir au mépris de toute réalités et de toutes les statistiques intègres des effets :

  • les exhalaisons 6 fois plus importantes chez les vaccinés que chez les pas vaccinés,
  • l’insertion de protéines de pointes auto-produites après vaccination dans les cellules des parois des capillaires qui vont amener les plaquettes à les boucher à la première infection venue,
  • l’effet potentialisateur des anticorps consécutifs aux injections qui facilitent la percée des nouveaux virus pour infecter à leur tour et plus rapidement les cellules,
  • l’impossibilité pour le système immunitaire de différentier les virus des cellules saines mais auréolées des protéines de reconnaissance des virus,

Derrière ce déni déjà prouvé par une avalanche jamais connue de ce qu’on appelle pudiquement « effets secondaires » en omettant souvent le « grave » ou en le noyant dans le « pas grave » immédiat, se cache en réalité une bonne raison idéologique :

Tout comme il réfute la supériorité de la coopération et du désir sur respectivement la compétition et la peur, il répugne à l’idéologue capitaliste libéraliste de penser qu’il partage l’air avec les autres.

Partager ? mais vous n’y pensez pas !

Pas plus le pouvoir que la qualité de vie : Sauf les excès totalitaires actuels, la démocratie n’est pas plus un mauvais système en soi que d’autres systèmes de gouvernance. Mais la démocratie pervertie par les financiers et leurs multinationales au titre d’une idéologie servant leur domination emballée sur des lois sur-mesure pour piller sans vergogne, cette démocratie-là ne vaut effectivement plus rien.

De même qu’il faut savoir passer au dessus des idéologies pour privilégier le réel, il faut savoir distinguer le concept et sa mise en œuvre :

Le diable est dans les détails et l’enfer pavé de bonnes intentions !   

Prospective guerrière : demain est déjà là


Avec tout le respect dû à un représentant de la nation et bien que cette fonction soit devenue « démocratiquement virtuelle », permettez-moi de dire que cet article https://www.revuepolitique.fr/quelle-politique-etrangere-dans-un-monde-a-la-derive/ retarde d’une guerre monsieur Myard. Comme en France d’hab a t-on envie d’ajouter…..

Laissez moi vous mettre à l’heure :

La prochaine guerre comme le prochain totalitarisme sont déjà là : Comme l’avait dit Warren Buffet, la lutte des classes n’est pas morte et c’est la sienne qui est en train de gagner. N’en déplaise aux directeurs généraux et de site agacés par la résistance syndicale c’était déjà vrai quand il parlait et ça l’est encore plus aujourd’hui.

La lutte est effectivement devenue guerre avec l’assaut donné suite aux simulations du général Klaus Schwab et à l’invention du virus méchant comme prétexte de déclaration de guerre (allocution de Macron l’imposteur électoral).

C’est la guerre du 0,4 % financiers emmené par Bill Gates, l’institut Rockfeller, Rotschild Black Rock et les grandes banques contre les peuples dont les Etats étaient l’instrument du bien commun avant d’être infiltrés, pervertis et retournés.

Les français sont en train de le comprendre et c’est toute la francophonie qui va balayer l’idéologie capitaliste dérégulée par l’idéologie de la qualité, balayer les psychopathes fanatiques du 1%, mettre les banques et les industries au pas et purger à la Mao le 15% qui se sert pour remplacer par un monde multipolaire tourné vers l’intérêt général et le bonheur pour tous.

Les militaires doivent d’avantage se tourner vers le renseignement et le maintient en fonctionnement des infrastructures de chaque état; en particulier les leurs (qui ne doivent pas être chez Microsoft ou utiliser des processeurs Intel) ! Les guerres « à l’ancienne » ne seront plus qu’une partie des formes guerrières depuis la finance, jusqu’à l’alimentaire en passant par l’énergie, l’information et l’informatique.

Totalitarisme étatico-bureaucratico-bancaire :


Chère chargée de clientèle d’entreprise,

Me voir soupçonner par décret de blanchiment d’argent pour le terrorisme par ma banque à l’occasion d’un refus par principe de lui communiquer mon bilan, voilà qui est fort ! (le décret décret sur lequel ma banquière s’appuie pour me forcer à lui communiquer mon bilan est pris sur le fondement du terrorisme alors que tout le monde sait que c’est la CIA qui le finance et l’organise)

Lâché par vos confrères banquiers d’agences appliquant sans discernement la règle de la profession disant qu’on ne prête pas pour rembourser une dette; cela au moment où j’avais le plus besoin d’eux en profession libérale, suite à l’escroquerie par un avocat connu et couvert par la justice du bon milieu lyonnais, je suis remonté du pavé où tous ces braves clercs m’avaient jeté pour créer une EURL à 1€.

Il est de notoriété publique, connu des services de renseignements français et démontré dans « Où va l’argent » par Maxime Renahy que ce sont  les grands industriels, financiers, bon nombre de politiques avec la complicité de grandes banques d’affaires qui fraudent et donc volent à l’état français, donc pillent les français pour environ 160 milliards par an.

Aussi, quand, exécutant une délégation de l’administration fiscale, le greffe du tribunal de commerce de Lyon m’a demandé il y a quelques années de payer pour dire qui était le bénéficiaire ultime des profits de mon EURL alors je n’ai par statuts ni filiale ni consolidation, j’ai protesté.

Pour toute réponse j’ai dû payer une amende pour retard. Un greffier de tribunal de commerce gagne, grâce à son entreprise privée en délégation de l’état, 40 000 €/mois. Outre le système de ponction d’un pilleur privé sur base d’une délégation publique, j’ai pris à cette occasion conscience de l’incapacité de l’administration à faire preuve de discernement dans ses méthodes de contrôle et de sa généreuse propension à payer cher ce qu’elle pourrait faire faire par les fonctionnaires. Le cas n’est pas rare; il découle de la rapacité des uns et de l’endoctrinement idéologique des autres.

C’est d’ailleurs un problème qui affecte gravement mon donneur d’ordre qlequel perd régulièrement des marchés et dégrade la qualité de ses salariés déguisés en prestataires ponctuels réguliers. Mais cette administration a préféré me sanctionner plutôt que de corriger les problèmes que je lui signalais; poursuivant ainsi son inexorable descente aux enfers.

Je suis tombé dans ce purgatoire après qu’une ligue de princes d’entreprise genre député LREM ou ministre du travail m’ait éliminé pour excellents résultats ridiculisant tous les autres et opposition à son management par le harcèlement moral. L’expérience a été rude mais instructive. C’est grâce à cela que j’avais diagnostiqué le profil du président par coup d’état électoral dès 2017 et voté d’abord JL Mélenchon puis Marine Le Pen pour faire échouer le plan de la finance. C’est aussi grâce à cette expérience que j’ai mis l’accent sur les 8 principes de torture psychique de Biderman à l’usage des militaires américains en cours d’application tout particulièrement en France.

Depuis cette éviction par les incompétents du privé, je suis un travailleur exploité par ce donneur d’ordre étatique privatisé. Pour sortir de ce carcan, me rémunérant au smic, je tente péniblement en autofinancement depuis 15 ans de m’affranchir de cette domination. Croyez-vous madame la banquière que je puisse être tenté brusquement à 64 ans par une carrière de financeur de terroriste ? !

De qui se moque-t-on avec cette justification imbécile de risque terroriste dont je rappelle qu’il est financé par les trafics mafieux pour en réalité surveiller tout les braves gens ? C’est à l’image des PV au feu rouge à la dame qui téléphone plutôt que d’aller mettre fin aux trafics dans les cités pour faire du chiffre.

Chère banquière, chère Blyth Masters en herbe, je découvre en résistant à votre aimable demande polie que c’est en réalité une injonction ferme avec une face cachée de rétorsion.

Tout comme les commerçants sont forcés d’imposer les masques, les ausweis d’appartheid sous prétextes incohérents, vous exercez un contrôle régalien délégué. C’est cohérent avec la privatisation « Black Rock » tous azimuts du gouvernement actuel et ses méthodes totalitaires.

En revanche je comprends que vous vous inquiétiez du remboursement du prêt que je paye 1% pour sa prolongation d’un an. Comme vous avez vue sur mon compte, vous savez que la trésorerie est gérée en bon père de famille et qu’elle excède sensiblement ce montant. Vous savez aussi que j’ai les capacités de remboursement et vous savez que mes virements sont destinés à mes partenaires informatiques ex aussi simples travailleurs.

Si je veux me montrer honnête vis-à-vis d’un partenaire financier comme à l’endroit de tout autre partenaire depuis toujours. Il n’entre plus dans mes intentions de me soumettre aux excès de la dictature technocratique.

Vous me direz si vous souhaitez me conserver comme client pour pour le prêt et pour le compte pour ce refus mais je ne serais pas fâché de placer le fruit de mon travail sous la loi d’un pays libre; voir même de m’y placer moi…..