Ce que le général n’a pas fait, et ce qu’il ne dépendait pas de lui de faire, c’est d’obliger à lâcher prise, ces mains, ces quelques mains, oui, ce petit nombre de mains, qui tiennent les commandes secrètes de l’état qui assurent les immenses profits de quelques-uns et qui font de chacun de nous les têtes d’un troupeau exploitable… et exploité ! (d’après l’historien Henri Guillemin dans histoire de la banque de France)