EurogendFor : c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes…


Pendant les grands mouvements ouvriers de la fin du XIXe siècle les préfets avaient recours à des gendarmes amenés de départements différents de celui où ils faisaient le coup de poing. C’est suite à un refus d’obéir d’une troupe de gendarmes du cru que le gouvernement a décidé de se passer des forces locales pour les opérations de répression.

un article de revue sur la violence d’État: dit ceci :

«C’est ici que l’analyse sociologique prend tout son sens : composée d’hommes presque tous mariés et issus de la société qu’ils encadrent, l’arme n’a aucune envie de se couper des populations. Anciens conscrits, les gendarmes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle cherchent moins à retrouver l’univers militaire qu’à s’en détacher, comme le prouvent leurs revendications et leurs comportements. Autant dire qu’ils ne partagent plus grand-chose de l’imaginaire de la fraternité d’armes et de la charge héroïque. Fiers de surveiller les campagnes, ils considèrent le plus souvent le maintien de l’ordre comme un sale boulot.»

D’où la création de l’EuroGendFor, l’European Gendarmery Force en 2000. On fait venir de l’étranger des forces répressives décomplexées, à peine liées par le droit du pays où ils officient. Qui enquête en cas de dérapage ? Qui sanctionne ? Qui s’en soucie ?

C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. On connaît les méthodes; elles sont juste mises au goût du jour par les mondialistes qui négligent déjà les frontières de la souveraineté du peuple comme si les Etats avaient déjà été mis à bas. Eh bien non, à bas l’envahisseur !

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