Mascarade psychiatrique et médiatique de Nuremberg


Si tout le monde le dit c’est que ça doit être vrai.
La propagande est quelque chose d’extrêmement efficace grâce à ce raisonnement.

Or rien n’est plus faux !

Chaque fois que j’applique mon raisonnement « cortical » débarrassé des émotions « limbiques » en tenant compte d’informations détaillées et complètes, une autre réalité apparaît ; comme une montagne sortant du brouillard qui se dissipe.

La domination des uns par les autres conduit a la crise économique, ici celle de 29. Conjuguée aux propagandes et aux traumatismes collectifs de l’époque, il ne fait pas de doute que, comme actuellement, la société avait défoulé ses tensions accumulées sur les plus vulnérables; ceux dans l’incapacité physique, mentale ou minoritaires, de se defendre. Comme toujours les boucs émissaires ont servi à ce que rien ne change ce qui permet de recommencer la lutter des bourgeois financiers contre le peuple qu’était cette guerre.(lire sur deboutlafrance.fr les citations Chrurchill qui en plus a utilisé les gaz toxiques aussi en Afrique en disant qu’il ne comprenait pas les réticences autour de lui quant a l’usage de ce genre d’armes à grande souffrance). Lui le nécrophile, l’assassin de masse, était un grand destructeur.

On a toujours tort de perdre et c’est pour cela que les atrocités des rivalités extrêmes en particulier des guerres ne connaissent pas de limite. Hitler l’homme du peuple a perdu quand le jeu, devenu tactique et international, a nécessité plus de ruse que de force. Pas parce qu’il serait écrit comme dans les films américains que le Bien triomphe toujours du Mal. Encore moins parce que l’Occident serait le camp du Bien. La réalité dément cela tous les jours et tendrait même a prouver le contraire.

Après, il suffit aux vainqueurs de réécrire l’histoire et de fabriquer les mythes qui stigmatisent l’adversaire et d’entretenir les tabous qui permettent a ces mythes de perdurer.

La bourgeoisie est passée maîtresse dans cet art manipulatoire des peuples depuis des siècles. Il lui faut en effet s’allier les couches intermédiaires entre la base et le sommet pour dominer les peuples. Elle dispose pour ce faire de deux capitaux : intellectuel et financier. Voilà pourquoi leur système fabrique des crétins qui ne posséderont rien et seront des imbéciles heureux.

Après que russes et américains aient dépecé l’Allemagne de ses scientifiques et des profils de médiocres-zélés, ces individus sans autre conviction que leurs propres intérêts genre Altstein, le procès de Nuremberg des seules figures emblématiques n’a été qu’une vaste mascarade initiant le mythe de l’épouvantail nazi.

Paradoxalement les mêmes détruisent actuellement leur propre tabou qu’est devenu ce mythe nazi en recréant depuis l’Amérique de Nord fief anglo-saxon s’il en est, puis en soutenant sur place avec la contribution hyperactive de représentants riches d’Israël, les ukro-nazis. Malheureusement le peuple allemand est encore entraîne du mauvais côté.
Une fois de plus ce sont les peuples qui font fait les frais, mais cette fois c’est le capitalo- totalitarisme qui seul est totalitaire. Lorsque les Russes auront gagné et que l’Occident anglo-saxon aura été laminé, que les collabos injecteurs et destructeurs auront servis de boucs emissaires, cela permettra à la propagande des vainqueurs de justifier le communisme soviétique de reaction et de réhabiliter le vrai socialisme tellement dévoyé qu’il n’en a plus que le nom.

Statistiquement, les psychiatres sont d’ordinaire un peu plus lucides que les autres mais cela n’empêche ni les clowns ni les phénomènes d’appartenance au groupe dominant. Seuls quelques figures se détachent. Dans le cas du proces médiatisé, on n’arrive pas la par hasard mais parce qu’on est dans la doxa avec des amis. Comme toujours le mediatico-politique s’emballait de savants raisonnements psychiatriques. « Le poumon vous dis-je le poumon »…. On le voit bien encore aujourd’hui avec les psychiatrisation de tous ceux qui dans une société malade se révèlent particulièrement sains de par leurs refus ou leurs colères.

Hans Lejarec

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