Patrons et collabos


Collaborateurs malgré eux

Nombreux sont les réceptionnistes d’hôtels et les vendeurs qui me disent : « je me suis fait vacciner car sinon je perdais mon boulot »

Nombreux sont les patrons d’hôtels ou de commerces qui me disent « j’ai été obligé de me faire piquer sinon je ne pouvais plus ouvrir » ou plus hypocrite « vous comprenez, si je ne respecte pas la règle je mets 35 personnes au chômage »

Collaborateurs Zélés

Nombreux sont les employés qui me disent « monsieur votre masque » Nombreux sont les patrons, les employés ou même les autres clients qui quand je proteste me disent : « monsieur c’est la règle »  

Argumentation

Approche sympa

Evidemment chaque fois que quelqu’un remet son bâillon à mon approche, je lance : surtout pas pour moi ; mettez-vous à l’aise ; Profitez-en pour respirer librement

Quand on me le demande, pour ne pas entrer trop brutalement en opposition je réponds : « vous n’aimez pas mon sourire ? »

Transition « technique »

Comme on n’ose pas me répondre que c’est cela, j’en profite pour demander « Connaissez-vous la taille d’un virus ? » et comme la réponse est invariablement non j’explique alors que les virus sont nanométriques tandis que les mailles sont micrométriques ; ce qui fait qu’on peut en faire passer un million par maille et que donc « ce n’est pas un masque mais une marque de soumission ; en somme un bâillon ».

Parfois je demande « connaissez-vous John Loanidis ? » avant d’expliquer qu’il a démontré scientifiquement la contre-productivité du bâillon ; mais c’est rare car uniquement chez les gens suffisamment ouverts pour écouter le premier argument.

Conclusion politique

La grande majorité me dit plus ou moins autoritairement « C’est la règle appliquez-la » ou « c’est la règle il faut l’appliquer ». Là je leurs réponds « non, il faut résister aux règles idiotes » et sans attendre, je leur cite l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 93 qui pour ne pas avoir été votée par les bourgeois, n’en est pas moins frappée au coin de la légitimité : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection devient pour le peuple, (non pas un droit mais) un devoir »

A ce propos il faut savoir que quatre ans après 89, les bourgeois avaient pris le contrôle de la révolution et la responsabilité des exactions des préfets avec. Les préfets du genre Lallemand, étaient alors dénommés commissaires de la république. C’est parce que Maximilien de Robespierre les avaient rappelés à Paris pour arrêter les exactions que les politicards bourgeois vicieux et coupables se sont ligués dans l’urgence contre lui et l’ont décapité.

Enseignement historique : Les exactions répétées des bourgeois

Bref les bourgeois, qu’il s’agisse du génocide des irlandais par les propriétaires terriens anglais emmenés par leur roi, des rapine européennes révolutionnaires et napoléoniennes ou des exactions vendéennes françaises, des guerres américaines…. Ces industriels financiers, en deux siècles n’en sont hélas pas à leur premier coup avec les actuelles injections géniques expérimentales aussi délétères massives. Cependant c’est certainement le plus gros, le plus grave et potentiellement le coup de grâce pour eux, pour leur domination sans partage et potentiellement pour l’Humanité.

La trahison des clercs

La soumission à l’autorité

Stanley Milgram l’avait bien montré : l’immense majorité des individus, si une autorité prétendument scientifique, politique ou les deux mélangés ou simultanés le lui demande, va jusqu’à électrocuter par dispositif interposé son semblable en infériorité.

Dans leur incapacité à résister à la propagande médiatique des milliardaires, dans leur empressement à transmettre leur soumission, tous ces médiocres collabos-malgré-eux ne sont qu’une éclatante démonstration de la monstrueuse validité de cette expérience célèbre. Ils sont tellement soumis qu’ils vont jusqu’à risquer leur propre vie sans discuter en allant se faire injecter un poison à répétition après avoir accepté l’abandon de tout soin et l’interdiction de tout médicament.

L’appartenance au groupe

Les patrons d’établissements, choisis quoi qu’ils s’imaginent de leurs capacités, sont choisis certes avec un minimum d’intelligence mais surtout un maximum de docilité. Eux-mêmes particulièrement dociles, ils ne conçoivent leur direction que par l’autorité, l’autoritarisme et leur parti au pouvoir a poussé jusqu’au totalitarisme.    

Dans leur veulerie, ces médiocres collabos-zélés ne sont pourtant pas dupes du système comme les précédents. Comme le cobaye de Solomon Ash qui donne la réponse fausse comme tout les complices avant lui pour ne pas se désolidariser du groupe, ils savent qu’en propageant aussi bien l’obligation du bâillon que celle de l’injection ils font le mal.

A la différence des collabos malgré-eux, braves dupes, ils savent eux qu’ils participent au mal. Mais, abrités derrière les croyances médiatisées du groupe et les injonctions des dominants, ces dominés -dominants intéressés ont choisi de servir leur intérêt personnel ; fusse au prix de la santé de leurs employés et clients.  

« Le complice doit être plus puni que le coupable » disait ma prof de français de 4ième Elle avait raison mais nous n’en sommes pas encore là d’une part et d’autre part, ici, la nature fera bien les choses puisqu’étant injectés pour l’exemple, ils périront par là où ils ont péché.

Il ne manque plus que Zimbardo

Après le rappel des deux expériences mythiques, il ne manque plus que ce troisième grand du comportement humain pour que le tableau soit complet. Il arrive avec la création d’un nouveau eux et d’un nouveau nous, tout aussi piégeant pour engendrer la violence que les autres divisions : droite gauche, homo-héréro, masculin-féminin, jeune-vieux, classes sociales, races ou religions…. J’ai nommé les injectés et les pas injectés.

Zimbardo lui avait mis en scène deux groupes d’étudiants dans une prison. L’un jouant les gardiens, l’autre jouant les prisonniers. Il avait été obligé d’arrêter l’expérience tellement la violence des uns à l’endroit des autres allait trop loin…. Il n’est plus besoin d’être grand clerc pour s’apercevoir que les médias des milliardaires remontent les injectés contre les non injectés avec des sophismes d’une rare aberrance du genre : ce sont les pas injectés qui rendent les vaccinés malades !!!

C’est du même niveau que : « Plus il y a de gruyère plus il a de trous, plus il y a de trous moins il y a de gruyère donc plus il y a de gruyère moins il a de gruyère. »

« Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse » :

 l’ivresse ici c’est celle de la vengeance contre l’insaisissable adversité. Il faut savoir que les recherches militaires en matière de guerre bactériologique interdites par les traités sont poursuivies dans les coulisses. Elles sont financées par les américains (Antony Fauci), sur la base de brevets français de l’Institut Pasteur (le professeur Fourtillan, nobelisable pour sa découverte des mécanismes du sommeil et ses soins des maladies dégénératives par la valentonine, est emprisonné pour l’avoir révélé) et elles sont exécutées par des proxy soit 25 laboratoires de par le monde y compris en Chine.

Au lieu de protester contre les kamikazes qui ont poursuivis ces recherches, au lieu de mettre en cause les cinglés qui les utilisent pour réduire la populations mondiale, les piqués vont s’en prendre aux gens restés sains ; affublés des toutes les tares comme tout « eux » quand on est « nous » comme tout bon bouc-émissaire. Et pendant ce temps, les coupables pourront tranquillement rire sous cape le plus sardoniquement du monde….

Le sacré nous manque

Bien évidemment, tout cela ne peut exister que parce que nous sommes en barbarie puissance quatre. Le technico-économique a non seulement dicté les lois de l’ordre juridico-politique, inversé les notions de bien et de mal, mais brouillé la notion d’Amour. Tout cela n’est possible que parce que le cinquième ordre, l’ordre divin clé de voûte de la hiérarchie des ordres a cédé depuis longtemps y compris jusqu’au siège de la papauté devenue l’anti message du christ ; l’antéchrist.

Bien étudié par René Girard, le sacrifice expiatoire des tensions de société entre boucs émissaires sains et malades psychiques et physiques dominants ne peut plus être canalisé par des rituels religieux. La tension sociétale accumulée stimulée ne peut se libérer que par la sauvagerie. Encore une forme qui arrange bien le 0,1% instigateur pour ses fantasmes de surpopulation comme pour sa domination comme pour le détournement de son système financier menacé à chaque instant de faillite générale.  

Refusez la guerre

Comme toujours éviter cela est bien simple dans l’esprit mais nécessite du courage dans l’application :

Il faut maintenant mettre tout son courage à résister et imposer des valeurs saines ; ne pas perdre son temps à prier mais retourner d’un pas décidé dans les églises pour se concerter.

Les tenants de la FI qui en 2017 scandaient « résistance, résistance » ne savaient pas à quel point leur slogan était prémonitoire comme l’était « l’humain d’abord » en ce sens qu’on arrête immédiatement toute expérience génétique dont les méfait sur la santé sont aussi patents qu’actuellement ; quel qu’en soit le prix économique.

« Que périsse les colonies plutôt qu’un principe » avait dit Maximilien de Robespierre en abolissant le premier l’esclavage avant que cette ordure de pseudo bourgeois Bonaparte ne le rétablisse.

Il faut revenir au message de fraternité, celui du christ, celui de l’Internationale, peu importe mais la fraternité. Rétablir l’ordre d’Amour, la tolérance, arrêter de stigmatiser tel ou tel  

Deuxième message exiger le retour à la morale : c’est-à-dire sanctionner la corruption, les corrupteurs comme les corrompus et leurs complices ; sans oublier d’écarter les pervers comme les narcissiques et tous les manipulateurs plus ou moins médiocres zélés pour ne garder que ceux qui agissent dans l’intérêt général ; en particulier il faudra sanctionner les scientifiques qui produisent des études frelatée et ceux qui défendent des position en lien avec leurs intérêts. Il ne faut pas oublier d’élever l’agnotologie au rang de démarche de salut public et de déclassifier tout document utile sans délai.

Troisième message revenir à la vérité : c’est-à-dire rendre les médias indépendants de Bill Gates, Rockfeller, Bolloré et autres princes consors. Remanier le CSA pour qu’il soit véritablement indépendant tout comme le conseil d’état. Veiller à ce que seules les publications scientifiques jugées  sérieuses par les comités de lecture indépendants d’intérêts en cause informent le public au lieu de servir de prétexte à décision criminelle (interdiction de l’hydroxycholoroquine). Veiller à ce que des scientifiques sans conflits d’intérêt viennent les vulgariser dans les médias

Mais d’abord renverser la charge

Pour ne pas se laisser déborder et pouvoir assener ces trois messages, il faut, lorsqu’on a déjà eu le courage et le discernement de résister à l’hystérie collective, non pas se recroqueviller en espérant passer entre les gouttes mais affirmer haut et fort que les gens dangereux, s’il y en a ce sont maintenant les vaccinés.

Pourquoi ? Les injections géniques expérimentales transforment les cellules en usine de production de protéines de pointe. Une étude sérieuse vient de démontrer que la protéine spike, pénétrait non pas seulement dans la cellule mais dans son noyau et que là, elle empêchait la réparation de l’ADN indispensable à la bonne division cellulaire.

Or les cellules immunitaires se multiplient pour faire face à l’infection et si elles ne peuvent plus se réparer elles ne peuvent plus se diviser et donc une partie des défenses immunitaires est neutralisée. N’importe quel virus ou autre assaillant est alors à même de faire mourir n’importe quel injecté ; même jeune qui n’aurait jamais été malade ; même du virus militaire.

Comme le soutient Christian Velot, les ARN présents en masse dans les cellules peuvent se recombiner pour donner un n’importe quoi de nouveau à la fois contagieux et dangereux. Or avez le piquage de masse, la probabilité de cette improbable éventualité augmente considérablement pour un individu puis par contagion, à la différence du loto, tout le monde gagne  

Mais en plus le corps des injectés, infesté de protéine de pointe, se défend avec son arme massue : il exale de la protéine : il souffle du prion qui reste dans l’air et que les uns et les autres, piqués ou pas,  inspirent. Une étude réalisée au début des piquages de masse a révélé que les injectés pouvaient en exaler 6 fois plus que les pas injectés. Comme le montrent les statistiques, les piquages de masse font rebondir les épidémies (Il n’y aurait jamais eu de pandémie si l’OMS n’avait pas artificiellement abaissé le seuil pour faire plaisir à son principal financeur :Mr William Gates). Il ne faut pas chercher midi à 14h ni nier les statistiques. L’explication est probablement là.

Il y a donc pour les résistants à l’injection, un risque accru de maladie contre laquelle ils peuvent cependant se défendre et pour les injectés le même risque accru mais contre lequel ils sont avec le temps de plus en plus en difficulté pour se défendre. Les boucs émissaires s’il doit y en avoir ce devraient donc être les injectés mais le mieux serait d’organiser l’isolement des injectés, de répartir les gens sains pour faire cordon sanitaire et de sanctionner les vrais coupables et leurs complices.

Conclusion

Alors patrons, si vous ne voulez pas mériter la réputation historique des révolutionnaires et des vichistes avant vous, mieux vaudrait ne pas vous arc-bouter sur l’application des règles du 0,1% Occupant. Mieux, vous devriez dès maintenant porter courageusement la bonne parole au MEDEF et auprès des syndicats comme du personnel dans vos établissements et entreprises !    

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