Comment ni les politiques ni les médecins ne sont plus honorables


Par Manfred Stricker

Faits

Pour les humains, sur les environ 5 000 espèces [de virus] décrites9, seules 129 sont jugées pathogènes en 2018102.

Le virome est la composante virale d’un microbiome. Ainsi, le virome humain (en) est l’ensemble des communautés virales du microbiote de l’organisme humain. La recherche actuelle estime que dans le corps humain il y a 100 fois plus de virus (1015) que de cellules humaines (1013)31. Chaque individu en bonne santé porte en moyenne plus de 10 types de virus responsables d’infections virales systémiques chroniques et asymptomatiques32.

Commentaires

Donc chacun de nous contiendrait, pour chaque cellule, 100 virus, parmi lesquels plus de 10 types pathogènes.  On pourrait donc envisager que le fameux Covid-19 se trouve, dans beaucoup de gens, vacciné ou non, voire dans la plupart. Et qu’il se tient tranquille, comme tous les autres pathogènes, aussi longtemps que le système immunitaire fonctionne bien.

Nous sommes là dans une situation naturelle, harmonieuse, virus et humains vivant en harmonie depuis des millions d’années. Dans chaque espèce s’est développée une sorte de médecine naturelle, chacune connaissant un certain nombre de moyens pour rétablir un équilibre légèrement perturbé. Il y a une médecine chez les fourmis, chez les éléphants, les chiens et les chats.

Des moyens se trouvant souvent dans le domaine des plantes. Plantes qui, soit dit en passant, sont d’extraordinaires chimistes. La bonne médecine serait donc de maintenir tous les humains en bonne santé. Le médecin et le pharmacien devraient donc s’occuper des individus dont le système immunitaire serait perturbé. Et surtout laisser tous les autres tranquilles. On pourrait dire que voilà la médecine ancienne. On pourrait parler là de la médecine noble.

Aujourd’hui les moyens de la santé comme de l’alimentation sont devenus des armes de guerre. Nous devons cette tournure des choses aux laboratoires, dès les années 1930, pour la biological war (BW). Toujours avec le prétexte : pour pouvoir se défendre contre d’autres qui utiliseraient de telles méthodes. 

Les psychologues ont introduit là la notion d’inversion accusatoire. Ce sont les plus racistes qui accusent les autres de racisme (d’autres qui, bombardés par cette accusation, vont devenir racistes; mécanisme exposé par Spinoza).

De nos jours la santé a été prise en main par des spéculateurs spécialisés dans les médicaments, comme la paix a été prise en mains par des spéculateurs spécialisés dans l’armement.

Après des guerres continuelles entreprises principalement par les Anglo-Saxons, nous avons maintenant des pseudo-pandémies en chaînes, organisées par les mêmes. Non seulement avec d’immenses bénéfices, mais aussi par la prise en mains des pouvoirs politiques. Une prise en mains favorisée par la réorganisation du pouvoir politique. 

La démocratie dite parlementaire est devenue présidentielle. Il n’y en a plus qu’un seul qui commande. Regardons de plus près comment ce « un seul » arrive au pouvoir…. :

  • Sarkozy est devenu président en dépensant deux fois plus qu’il n‘était autorisé. On pourrait dire que c’est l’une des plus grandes escroqueries possibles. Et il jouit maintenant d’une retraite confortable. 
  • Macron est devenu président aussi par des dépenses supérieures à la limite mais beaucoup par la propagande qui n’aurait cependant pas si bien marché puisqu’il a fallu frauder massivement sur les chiffres au mépris des bulletins au ministère de l’intérieur.

On peut reprocher à Sarkozy une guerre contre la Libye et sa destruction sur le fond et sur la forme, en violant la constitution qui exige que pour une guerre, le parlement soit consulté. Viol déjà commis en 1939. Macron n’a donc rien à craindre sur ce plan-là avec son conseil de défense; il y a précédent et le conseil constitutionnel lui est acquis.

Si donc s’il n’y a plus rien de sérieux dans la politique, pourra-t-on espérer du sérieux – de la sériosité ? – dans la santé ?

Pour ce qui est de la médecine en France, quand on voit que des médecins libéraux, au lieu de soigner les malades atteints des premiers symptômes, les ont envoyés dans les hôpitaux publics où ils ne furent pas soignés non plus, mais tous entubés, on peut dire que cette médecine est dans une situation peu glorieuse. (lire sur ce site l’article démontrant que les abandons de soins seuls sont cause de surmortalité http://www.deboutlafrance.fr/2021/03/covid-19-des-statistiques-au-scandale/)

Car après le scandale de l’interdiction de l’hydrochloroquine par le ministre Buzyn, sous l’autorité du premier ministre Philippe – lui très toujours très populaire – sous l’autorité du président Macon – qui songe à se faire réélire et qui pourrait y arriver – , il y avait tout de même, chez les pharmaciens, l’ivermectine (dont beaucoup de médecins ignoraient l’existence; mais il y a plus grave : des médecins refusaient de le prescrire à la demande de patients). 

On pourrait dire de la formation des médecins en France, à l’heure actuelle, qu’ils ont été privés non seulement de leur bon sens naturel, mais aussi de leur sens professionnel de l’honneur. Certains politologues, comme Hippolyte Taine, ont dit que le ciment de l’ancien régime – donc avant la révolution – était l’honneur. Un sentiment développé dans de nombreuses professions, les artisans, les soldats, les mineurs. J’ai remarqué que de l’autre côté du Rhin, quand on dit à un Allemand que son comportement n’est pas celui d’un Allemand – Ihr Verhalten ist undeutsch -, cela a un effet. 

Mais aujourd’hui, en France, un médecin n’est plus une personne honorable uniquement par son titre. Il faudrait qu’en plus de son titre, il le prouve. 

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